Maxos a écrit :Je vais faire un mixe avec celui de Didier, j'ai ma petite idée
Le travail est en cours et avance ... doucement ...
non l'ami.
y'a une commande bien précise.
je veux que tu parles de la nature avec ses parfums, ses couleurs, ses formes...........
tout ce qui permet d'apprécier sa grâce, sa plénitude.....
un hymne à la vie.
je veux que tu décrives le bonheur de vivre, même si pour cela tu dois te faire violence.
vas-y l'ami, imprégnes toi.
Chevalier de l'Ordre de Saint-Georges. Médailles de la 1ere, 2e et 3e Campagne, Médaille du Mérite, Médaille de la Nation, Légion d'Honneur Russe.
Comme promit Didier, voilà le poème que j'ai réalisé pour toi !
J'espère qu'il te plaira !
Grande dame nature !
Me levant en ce tendre matin printanier
Scrutant l’éternel horizon marmoréen
Dame nature, bercée par l’humidité
Présentant les plus belles notes du refrain
Respirant à plein poumons cet onctueux arôme
Pénétrant jusque dans mes entrailles, doux baume
Avançant dans la moelleuse herbe verdâtre
Les brins effleuraient délicatement ma peau saumâtre
Au beau milieu des champs d’un limpide rosé
Un papillon jouit, virevoltes saupoudrées
D’une joie intense, mais d’un comble ignorant !
Regardez ! Toute la joliesse et la puissance
De notre mère ! Qui depuis la nuit des temps
Oui ! Je viens crier mon hymne à la tempérance!
Quand son silence gronde
Incessamment, mon cœur pleure
Sous les connaisseurs immondes
Prétendant à l’Amour, beau parleur !
Des regards qui percutent ma foi
Froissant ainsi mes plus profonds émois
Aussi longtemps que tu me manqueras
Mon létal liquide rubescent coulera
Tu n’es pas loin, je sens ta présence
Mais ton silence pèse comme une lourde absence
Tel le supplice de Prométhée, infinité
Blessante, je me sens délaissé
Aujourd’hui encore, ma plume sanglote
En mon esprit, la peur et la haine se frottent
Créant ainsi d’éternelles étincelles
Qui dans mes entrailles ruissellent
Dans tes propres émois, tu n’es pas bien
Même si je ne suis pas si loin
Maintenant tu t’éloignes de moi
Mais grâce à moi, tu ne tomberas pas
Une ignorante souffrance qui blesse
Car sans cesse, j’ai peur que tu me laisses
Ne perce pas notre bulle de bonheur
Car sans ton amour, je n’ai pas de cœur
Ne me laisse pas affronter seul ma peine
Mon fluide sang ne serait plus que haine
Sans toi j’oublierai de respirer
De ma vie, j’ai été l’exclusif condamné
Tu m'excuseras Nilaïkov mais je ne replonge plus dans la dépression... Je ne veux même pas essayer ! Maintenant, je bosse sur des images, qui m'inspire beaucoup en cette périodé d'amour fou !! J'en posterai... si possible... une par jour !
Euh... Les photos et la guimauve cadrent mal avec l'idée que je me fais de la poésie...
(J'aime l'idée du poète maudit, comme celle de l'écrivain qui n'écrit pas pour plaire...)
Rimbault, Appolinaire, Baudelaire, Verlaine, Jehan Risctus, Villon... et tant d'autres.
Imprègne-toi de cette poésie fin 19ème siècle (les Poètes du Chat Noir)
2 bouquins en poche :
- Anthologie de la Poésie française du XIXème siècle (2 tomes / Poésie-Gallimard)
- Les Poètes du Chat Noir (poésie-Gallimard)
Chez les bouquinistes : Anthologie de la Poésie française contemporaine (4 tomes) (Collection Pallas / éditions Delagrave 1958)