La Campagne de Russie

L'idée de Fredo dans le sujet sur les attaques en ville m'a fait penser à autre proposition :
en cas de mêlée (peu importe où), si l'écart de dégâts (ou de morts) est important (par exemple, le double), alors on applique un malus de confiance pour le test.
Et on pourrait même envisager, dans tous les cas, un test de confiance pour l'attaquant si le défenseur réussit le test avant (car l'attaquant se dit que merde, ils nous ont bien calmé en face et ils ne se désunissent pas comme on pouvait s'y attendre).

Un exemple serait bienvenu.
Ce n'est pas très clair je trouve.

J'admets...

Bon, exemple pour le premier point :

Lors d'une mêlée, l'unité qui attaque inflige 40 dégâts et en subit 15. L'écart est supérieur à 20 (chiffre totalement improvisé parfaitement négociable), le défenseur subit un malus de 30 (chiffre tout autant improvisé et tout autant négociable) sur sa confiance lors du test suivant l'attaque, avec donc un risque accru de perdre du moral.
Tout simplement parce que les effets d'une mêlée sur le moral et la cohésion d'une unité doivent quand même être bien plus important qu'une salve.

Pour le second point :

Après une mêlée, si le défenseur réussit le test de confiance et ne perd donc pas de moral, alors l'attaquant doit lui aussi passer un test de confiance avec le risque de perdre un point de moral.
Si le défenseur rate le test de confiance, pas de test pour l'attaquant.

Je trouve le contrecoup potentiel au moral si le défenseur tient bon beaucoup trop dangereux, et ne ferait que renforcer un phénomène de sur-utilisation de la salve.

Un GN qui reçoit une mêlée et se prend +100% de dommages, prend 50 pertes, en cause 9 en riposte et si le moral ne vacille pas, les grenadiers qui les ont écharpés claquent des genoux et peuvent perdre 1 point de moral ?

Cela par contre fait un peu plus sens en cas d'attaque désespérée en mêlée (ces mêmes GN moral 5 viennent s'empaler sur des grenadiers moral 7 gonflés à bloc, la claque va piquer)

Il faudrait au moins exempter les mêlées avec un écart de pertes énorme de se prendre un test en contrecoup selon moi.

Aucun souci pour moi. Mais j'avais peur de rendre les règles trop lourdes en ajoutant trop de cas.
Disons alors que l'attaquant subit un test uniquement s'il subit plus de dégâts que le défenseur Et si le défenseur ne perd pas le sien.

(Pour être précis, tes grenadiers ne claquent pas des genoux mais sont surpris de rencontrer plus de résistance que prévu).