Missive interceptée par les russes --
Publié : mer. mars 18, 2009 4:48 pm
le 18 mars,
Antoine,
es-tu bien arrivé à Paris ?
comment trouve-tu ton nouveau poste ?
ici l'hiver se termine et on
marche plus dans de la gadou que dans la neige.
Il devient même dangereux de traverser la Bérézina
sans passer par les ponts.
L'aile droite de la grande armée que je gère se porte à merveille.
Les russes ont tenté en vain malgré un effectif imposant de détruire
nos batiments.
Ils ont été repoussé puis balayé.
Il est plus qu'évident que cette campagne ne peut échapper à la grande armée.
La victoire ne fait aucun doute et d'ailleurs les russes au vue de leur comportement
l'ont bien compris.
J'étais avec l'Empereur il y a quelques jours de cela pour admirer le spectacle
de l'offensive des Autunnois. L'Empereur souriait.
La vodka laissé par l'ennemi coule à flot dans les bivouacs francais
et réchauffent les hommes dans l'attente d'un retour triomphal dans leur foyer.
On ne compte plus les drapeaux pris à l'ennemi et les cadavres
qui jalonnent le front.
A très bientôt,
ton frère bien-aîmé,
Antoine,
es-tu bien arrivé à Paris ?
comment trouve-tu ton nouveau poste ?
ici l'hiver se termine et on
marche plus dans de la gadou que dans la neige.
Il devient même dangereux de traverser la Bérézina
sans passer par les ponts.
L'aile droite de la grande armée que je gère se porte à merveille.
Les russes ont tenté en vain malgré un effectif imposant de détruire
nos batiments.
Ils ont été repoussé puis balayé.
Il est plus qu'évident que cette campagne ne peut échapper à la grande armée.
La victoire ne fait aucun doute et d'ailleurs les russes au vue de leur comportement
l'ont bien compris.
J'étais avec l'Empereur il y a quelques jours de cela pour admirer le spectacle
de l'offensive des Autunnois. L'Empereur souriait.
La vodka laissé par l'ennemi coule à flot dans les bivouacs francais
et réchauffent les hommes dans l'attente d'un retour triomphal dans leur foyer.
On ne compte plus les drapeaux pris à l'ennemi et les cadavres
qui jalonnent le front.
A très bientôt,
ton frère bien-aîmé,