EDITORIAL
Bonjour à tous nous avons une grande nouvelle. Oui et aucune mauvaise nouvelle.
Le Printemps nous sourit et nous pourrons remettre les fleurs à nos fusils !
Bonne chance à tous
La rédaction
démission ou des missions
Après avoir eu un entretien privé avec le tsar, c'est au Palais, lors d’une collation où tout les officiers et nobles de l’aristocratie étaient conviés que Leto, Commandant en chef des armées, est venu annoncer la remise de sa démission de sa fonction de chef d’état major.
Bien que la situation sur le terrain exige la présence des officiers, nombre d'entre eux furent présent.
Après les formules habituelles de bienvenue, le Major est entré dans le vif du sujet. Et, comme a son habitude, ne s’embarrassa pas de formule détournée. Voici quelques lignes de son discours.
….. le haut état major et l’état major étendu en place fonctionnent à présent de façon normale. Le Tsar me rappelait ce matin la fierté de voir l’engagement et l’investissement de ces officiers de renom, du commandant de compagnie qui dirige ses bataillons à celui d’état major.
Il vous invective à continuer et à redoubler d’effort. Aujourd’hui, quittant donc le commandement des forces russes que m'a confié le tsar et l'état major, je tenais moi aussi à vous remercier de votre soutien depuis le début. Votre dévouement pour la juste cause, pour la défense de notre terre et de nos familles, vos sacrifices, vos dépenses en efforts sans compter nous ont permis de résister face à l’invasion… Je souhaite quand même vous dire que le camp russe revient de loin… Nous avons su ressouder notre armée, nos commandements.
Nous avons traversé de graves crises externes et internes…… Mais il est temps que je passe la main. Je combattrai à vos cotés et serai proche de notre Tsar en cas de difficulté.
Merci à tous les officiers russes qui combattent sous la bannière de la liberté.
Son élocution terminée, Leto est descendu de l'estrade serrer les mains et remercier tout ceux qui avaient combattu sous ses ordres, parmi lesquels nous avons pu compter des gens comme Rouskoff, les juges de Castillon, Tchekov, le HEM, et de nombreux commandants de régiments, la liste étant si longue qu'il serait fastidieux de les citer tous. C’est dans une ambiance mi-figue mi-raisin, chaleureuse et triste, mais digne, que s'est déroulé la suite de la collation. "Nous perdons une grande figure à la tête de nos hommes" me confiait un officier.
Leto qui fut le premier officier à commander une troupe de grenadiers, ancien commandant de la Garde de son altesse le Tsar, Officier du haut état major, puis chef des armées vient de céder sa place.
Emile de kerminhy