Bonjour à tous, et merci d'être fidèle à notre Gazette qui fait paraître aujourd'hui sa 18eme édition.................

The daily telegraphe

La bataille des mythes…

La bataille se termine, le gros des troupes russes se sont enfui, laissant derrière une plaine envahie par les soldats français où cohabitent cadavres et blessés. Des coups de feux se font encore entendre, plusieurs carré de quelques dizaines de soldats à l’uniforme vert demeurent toujours dans la plaine de Smolensk. La mort est inévitable pour eux mais le courage dont témoignent ces hommes est incomparable. Puisqu’ils ont permis à leurs compagnons d’armes de se replier en bon ordre sans que la cavalerie française ne puisse les poursuivre. Ainsi la lutte pour la liberté des pays libres pourra continuer.
Outre le fait que cette bataille a été suivie avec beaucoup d’intérêt par les pays européens, cette bataille se place directement parmi les plus impressionnantes de toute l’Histoire de l’humanité.
Tout d’abord, le nombre de cadavres, qui gisent à tout jamais sur le sol russe, dépasse l’entendement. On atteint le chiffre record de 50 000 morts. Cette magnifique bataille a éliminé 40 000 coquins russes qui ont osé se rebeller contre l’Empereur français pour défendre leur famille. Ce résultat est interprété de façon très divergente. D’une part, Napoléon Bonaparte et ses acolytes doivent hurler de joie de voir tant de barbares russes le ventre ouvert baignant dans leur sang. Et d’autre part ce chiffre laisse perplexe les gens doués de raison. La bataille de Cannes, où Hannibal a mis en déroute de façon foudroyante l’armée romaine, ne comptait « que » 40 000 morts. Aujourd’hui le fier mythe de Cannes est désarçonné par cette glorieuse bataille de la Moskova.
De plus, en attaquant la Russie et en battant l’armée russe, Napoléon est devenu le premier général européen a réussir cet exploit pour le moins insurmontable pour d’autres nations. La Russie n’est plus la citadelle inviolée depuis des siècles et elle figure maintenant parmi les nations qui sont sous la botte de Napoléon. La chute fut brutale voir irréelle pour certain. Comment cette nation, qui n’a été envahi que par les Mongoles, peut-elle chuter aussi bas ? La réponse est simple et se résume dans une seule phrase : « Impossible n’est pas français *». Napoléon a relevé le défi d’écraser ce pays puissant qui a eu l’affront de se défendre et s’est ensuite investi totalement pour la réussite de son objectif. Quand le loup a faim, ce n'est pas la taille importante du troupeau qui l'arrête.
Qu’est ce qui peut stopper l’Ogre corse dans cette guerre contre la Russie? Ce n’est pas l’armée russe, ni le continent asiatique ni l’armée anglaise qui pourront l’arrêter mais juste la chute de quelques flocons de neige à point nommé…

*en français dans le texte.

Comme régulièrement, et à chaque nouveau lieu d'affrontement, le Haut Commandement Russe s'est vu renouveler.
En effet, Leto le commandant en chef des forces russes, profitant d’un déplacement de lieu de combat, a prit sa retraite. Son poste est devenu vacant. Rappelons qu’il fut élu en début de campagne et reconduit plus d’une fois dans ces fonctions n’hésitant pas a mettre son poste en jeu. À son actif, il a refondu le Code de Justice, et a créé les institutions qui régissent l’armée russe qu'il commanda seul. Il réunifia l’armée, mis en place un HEM solide, dont les membres commandèrent chacun un Corps d’Armée (Jyb Gagarine, Saint-hilaire, Maxos et Lycaon).

Un appel donc avait été lancé pour lui trouver un successeur. Il en est ressorti que les candidats ont été plébiscité.
Est donc nouvel élu comme commandant en chef Saint-Hilaire.
Il sera assisté de ses commandants de corps, puis de l'État-Major de Régiment.
Souhaitons-leur bonne chance.

La dinde à la vodka de Nussia

1. Voler au capitaine une dinde d'environ 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de vodka, du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard.
2. La barder de lard, la ficeler, la saler, la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.
3. Faire préchauffer le four thermostat 7 pendant dix minutes.
4. Se verser un verre de vodka pendant ce temps-là.
5. Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.
6. Se verser ensuite deux verres de vodka et les boire.
7. Mettre le therpostat à 8 après 20 binutes pour la saisir.
8. Se bercer 3 berres de vodka.
9. Après une debi-beurre, fourrer l'ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.
10. Brendre la vouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade derrière la bravate - non - la cravate.
11. Après une demi-heure de blus, tituber jusqu'au bour. Oubrir la putain de borte du bour et reburner - non - revourner - non - recourner - non - enfin, mettre la guinde dans l'autre sens.
12. Se prûler la main avec la putain de borte du bour en la refermant - bordel de merde.
13. Essayer de s'asseoir sur une putain de chaise et se reverdir cinq ou six vodka de verres ou le gontraire, je sais blus.
14. Buire - non - luire - non - cuire - non - ah ben si - cuire la bringue bandant 4 heures.
15. Et hop, 5 berres de plus. Ca fait du bien par où que ça passe.
16. R'tirer le four de la dinde.
17. Se rebercer une bonne goulée de vodka.
18. Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau parce que ça a raté la bremière fois.
19. Rabasser la dinde qui est tombée par terre. L'ettuyer avec une saleté de chiffon et la foutre sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s'en fout...
20. Se péter la gueule à cause du gras sur le barrelage de la buisine et essayer de se relever.
21. Décider que l'on est aussi bien par terre et binir la mouteille de veaudqa.
22. Ramper jusqu'au lit, dorbir toute la nuit.
23. Manger de la dinde froide avec une bonne mayonnaise, le lendemain matin et nettoyer le bordel que tu as mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journée.

Croque-mort

Connaissez-vous l’origine du mot croque-mort ? La recherche dans les textes en vieux français, permet de trouver la réponse. Dans les temps anciens, pour s’assurer qu’une personne était bien décédée, l’usage voulait que la personne en charge de cette vérification, le croque-mort donc, mordait violemment un des doigts de pied de la victime (en général un pouce) si rien ne se passait, l’issue était fatale et la mise en terre inéluctable.

Cette fonction de croque-mort, qui était en fait une vraie charge, (comme les bourreaux) se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps. Or il arriva une 1ère catastrophe le dernier croque-mort, bien qu’ayant eu de nombreux enfants, n’eut aucun garçon. Sa fille ainée reprit donc sa charge, aprés réunion et aval favorable du conseil des sages compétent dans ce type de question. Et seconde surprise, la première victime qu’elle eut à traiter avait une grave maladie, qui l’avait conduite à être amputée des 2 pieds. .Pire encore, la gangrène l’avait en partie gagnée et on lui avait coupée les 2 jambes jusqu’à hauteur des cuisses. La jeune fille examina la situation et mordit donc avec précaution le premier membre inférieur qu’elle put trouver.

Ce fut à cette époque et dans ces circonstances, très précisément, qu’on passa de l’expression "croque-mort" à "pompe funèbre" A quoi tient l’évolution de la langue !