Vazily Antigny

[Antigny]

Vazily Antigny, est né le 8 novembre 1788 dans le fin fond des forêts et des montagnes enneigées de l'Oural, par un jour de tempête.
Étant fils unique, mon père, Philipovich Antigny, un chasseur expérimenté, c'est efforcé de m'apprendre tous ce qu'il savait sur la chasse, comme le lui avait appris son propre père, et le sien a son tour. Je n'est put connaître ma mère, elle est morte peut après ma naissance.
La d’où je viens la vie est très dure les gens vivent principalement de la chasse et de l'élevage de brebis. Et que chaque enfant doit savoirs survivre seul dans ces montagnes, car dés l'age de 11ans nous devons accomplir un rituelle ancestral, c'est l'épreuve du loup blanc. Cette épreuve se déroulent en hiver consiste a survivre pendant 2 semaine seul dans la nature et réussir a ramener la peau d'un loup au village. Il ne nous est rien fournit. Les plus braves d’entre nous sont choisit pour être envoyé a moscov pour être enrôlé dans l'armée du tsar. Nous sommes en quelque sorte un présent fait au tsar qui fait preuve du dévouent et de la soumission de mon peuple a notre tsar.

Voilà comment je suis arrivé dans se bourbier qu'est cette guerre, je suis loin des miens et sans nouvelles des autres jeunes garçons qui ont été comme moi enrôlé après l'épreuve du loup blanc. J'espère que ce que mon père m'a transmit va me permettre de survivre a cette guerre.

Vive la Saint Russie, Vive le Tsar et Vive le LOUP BLANC!!!!!!

[vétéran Sobrakov]

bien Vazily, il y a beaucoup de Loups sur ce jeu, tu ne seras pas dépaysé !

[Loup Blanc]

Loup Blanc entendit, dans le camp de la Gendarmerie, l'histoire étrange d'un jeune officier russe qui pour intégrer l'armée russe avait fait ses preuves en chassant le loup.
Intéressé par cette histoire, Loup Blanc chargea son adjudant Aigle Impérial Blanc de se renseigner dessus.

Le lendemain, Aigle vint le voir

- Major, j'ai les informations que vous m'avez demandées. L'officier russe en question s'appelle Vazily Antigny, matricule 51560, venant de l'Oural. Il combat actuellement dans les rangs de l'Ecole Militaire Russe sous le commandement du Lieutenant Filat. Nous ne connaissons pas sa position précise, mais nous la trouverons.

Loup Blanc regarda Aigle et avec un sourire montrant tous ses crocs

- Aigle dit aux hommes que nous allons bientôt partir pour une traque, après avoir remplie la mission actuelle, nous allons nous amuser avec ce pseudo tueur de Loup. Nous vengerons mes cousins !

Alors qu'Aigle s'éloignait, Loup Blanc l'interpella

- Aigle ! N'oublie pas de prévenir Lupus, il risque de participer et d'apprécier la traque qui arrive.

[Ombre de Noblecourt]

Ah ben Antigny vous avez réussit votre entrée, les deux loups que vous avez maintenant aux fesses sont d'un genre coriace et que dire ... j'epère que vous croyez en quelque chose car s'il vous trouvent vous maudirez le jour où vos parents ont eu l'idée aussi sote que grenue de décider de vous créer.

Bienvenue dans CDR .... et sachez que si vous voyez le loup blanc et ses accolytes c'est qu'il est trop tard

[Igor Moleskine]

les deux loups que vous avez maintenant aux fesses sont d'un genre coriace

Ces deux loups : que de la gueule ! L'EMR en fera des pantoufles

[Antigny]

je ne crois pas que ces loups soit aussi fort qu'ils le répandent. J'ai aperçut une des compagnies de ces 2 loup: IV°Loup je crois pas plus tard que la semaine dernière.
Il ne m'est rien arriver jusqu’à maintenant de plus ce gredin c'est enfuit lâchement en voyant les lignes de l'EMR avancer dans sa direction.

[Filat]

Filat voyait la jeune recrue Antigny perplexe. Il avait eut maille à partir avec la un officier de la BI pour sa première expérience du feu. Il avait anéantit la compagnie franszky. Les bleus, égaux à eux même, c'étaient immédiatement vengé en détruisant la compagnie du jeune officier.

-Joli travail que tu nous a fait là pour ta première ! Moi aussi quand je suis arrivé au front j'ai affronté la BI pour mon premier combat. Le loups-noir traine ses guêtres par chez nous et il vient de se replier après quelques pertes. Tu ne dois pas craindre tous ces animaux dont sont peuplés l'armée du nabot, comme tu l'as bien comprit. Mais tu ne dois pas pour autant les sous-estimer.

Les bruits des coups de feu, des hurlements de rage et d'agonie couvraient la conversation. La bataille qui se déroulait pas loin était féroce. Même si son issue était certaine, elle n'en était pas moins d'une rare violence. Le XIII CA mourrait dans les honneurs.

- Je comprend ton ambition et il est vrai qu'à l'EMR nous mettons la barre très haute et que l'on attend beaucoup de vous. Et plus d'une fois les résultats furent supérieurs aux attentes les plus optimistes que nous avions fixé. Ne sois pas pressé d'affronter les loups, ce moment viendra bien assez vite. Et quand ce moment arrivera, gardes à l'esprit qu'à L'EMR, nous formons plus que les meilleurs officiers du Tsar, nous formons des lions. Et dans le règne animal le lion mange le loup.

[Antigny]

-Merci Monsieur pour ces précieux conseils que vous m'avez donné.
Sur ce je vais retrouver mes hommes.

Le jeune officier courut rejoindre sa monture, salua son supérieur avant de s'élancer au galop vers son régiment, tout en méditant sur les paroles qu'avait prononcer le Lieutenant quelles instants plus tôt.

[Abd al-Wali]

Confortablement installé dans sa tente de campagne aménagée de tapis et coussins d'Orient, Abd Al-Wali laissa son index glisser sur les reliures de cuir de sa bibliothèque. Il arrêta son doigt au hasard, se saisit du livre choisi, et dans la même divagation hasardeuse le laissa s'ouvrir à la page qu'Allah choisirait...

Fables d'Esope, 227

"LE LOUP ET LE LION

Un jour un loup, ayant enlevé un mouton dans un troupeau, l’emportait dans son repaire. Mais un lion, se trouvant sur son chemin, le lui ravit. Le loup se tenant à distance lui cria :
« Tu es injuste de me prendre mon bien. »
Le lion se mit à rire et dit :
« Toi, en effet, tu l’as reçu justement d’un ami ! »

Pillards et brigands insatiables qui, en butte à quelque revers, se chamaillent entre eux, peuvent se reconnaître dans cette fable."

[Loup Blanc]

Loup paisiblement installé dans sa tente, se curant les dents avec l'une des brindilles dont était constitué le fortin russe face à lui, fut interrompu par un Loupiot complètement hystérique

Major ! Nous nous sommes fait attaquer pendant une charge, ce foutu "chasseur de loup" russe a déboulé de nul part et nous a tiré une salve sur nos flans !
(21:16:25 16-03-2015 Vous avez été attaqué par Antigny (mat 51560) : 5 morts et 9 blessés)

Loup posa sa brindille, se leva et sans dire un mot vint se mettre derrière Loupiot. Puis d'un geste rapide mit un coup de patte à Loupiot qui s'écroula au sol.

Que t'ai-je déjà dit à propos de la bienséance ?! Tu ne peux parler que si je te donne la parole, tu n'es pas l'Alpha ici ! Tu as compris ?

Loupiot toujours au sol acquiesça. Loup Blanc satisfait le releva et lui sourit puis reprit la parole de manière plus douce

Tu as bien de la chance que ta mère ne soit pas là, je n'ose imaginer comment elle aurait réagi à ton insolence. Bon, cet Antigny est donc dans les parages ...

Après un moment de réflexion, Loup reprit

Loupiot, fait passer le message que les compagnies de cet Antigny doivent être détruites. Mission prioritaire, les autres passent au second plan. Fait envoyer une missive demandant au Grand Prévôt de nous autoriser à traquer ce "chasseur" sans restriction.

Loupiot acquiesça et s’apprêta à partir lorsque Loup le rappela

Eh Loupiot ! Avant de faire tour ça, va donc te laver. Tu es Sale ...


HRP: le duel peut officiellement débuter

[Antigny]

HRP: oui c'est pari que le meilleur gagne.

[Antigny]

La première escarmouche avec le loupiot datais déjà de plus d'une semaine, depuis, plus aucun signe du Loup . Pendant ce temps le chasseur attendais que sa proie pointe le boue de son museau. La journée était déjà bien avancer quand Son aide de camp entra dans la tente de Vazily:

-Monsieur, nous avons repéré une des compagnies de votre proie!(L'aide de camp montre un endroit sur une des cartes qui étaient disposés sur la table) Elle se trouve a moins d'un kilomètre derrière un bosquet!

Antigny ne répondit pas, il semblais plongé dans ces pensées.

-Monsieur, que devons nous faire? surenchéri l'aide de camp.

Antigny, se leva et répondis d'un aire déterminé

-Et bien fait sonner le corps de chasse, c'est une occasion en or !

Antigny sortie en trombe de sa tente son aide de camp sur ces talon. La journée étaie ensoleillée, c'était de bonne augure.

[Loup Blanc]

Après plusieurs semaines de traques (il faut dire que la proie qui se fait passer pour un chasseur ne se montre pas souvent):

23:48:56 28-04-2015 Vous avez anéanti la compagnie de Vladinsky (mat 51561)

[Antigny]

Un soir d'été au coin du feu, Vazily Antigny reçut une missive de son adjudant Vladinsky, cette missive qui était...somme toute...inattendue...

-Monsieur une dépêche prioritaire en provenance d'Orastie!! s’exclamât le messager en arrivent a cheval

-Qui-at-il mon ami? On dirait que vous avez vu un loup. les sous-officiers présents autour du feu se mirent a rire, car en effet on avait plus vu de loup dans la région depuis des lustres, et de plus ambiance était a la bonne humeur vue que le jeune Lieutenant venait de recevoir une promotion importante en effet il avait prit le commandement de l'école militaire

-Oui monsieur, j'ai vu en loup, dans Orastie, qui a feu et a sang car on se bat rudement la bas, la preuve voici les têtes de 3 sous officiers français que votre adjudant vous a envoyer!!

-Mais a qui appartenaient ces tête ? Au loup blanc? Les hommes éclatèrent de rire de plus belle

-Pas tout a fait mon Lieutenant, aux sous-officiers d'un de ces adjudant, des hussard!!

HOOUURRA !!!!! HOOUURA !!!!
s’exclamèrent les hommes, mais Antigny, connaissait trop bien sa proie pour s'être fait avoir aussi facilement, il resta perplexe un moment, il examina les têtes, puis il conclu que ces têtes n'appartenaient pas au soldats du lieutenant du Loup, il s'apprêtait a l'annoncer a ces hommes mais en les voyants il préférât ne rien dire pour ne pas gâcher l'ambiance

[Poniatowski]

Le capitaine Poniatowski, prince polonais se battant pour la France, venait de rejoindre les abords de Brasov avec son régiment d'infanterie de ligne de Pologne. Les combats étaient âprement disputés, là ou sans cesse affluaient les divisions de la Garde russe, qui entendaient bousculer les maigres défenses françaises. Ayant à peine mit pied à terre, on l'enjoignait déjà à fixer les baïonnettes et préparer la charge. Alors même qu'il mettait en place ses compagnies, un hussard le rejoignit au triple galop. Il avait le visage blême, le bras en écharpe, et tenait probablement en selle uniquement par la force d'un courage tout polonais. Blafard, le hussard s'adressa à l'officier :
- Monsieur, vos lanciers ailés qui participaient à la défense d'Orastie ont été dispersés. Les rescapés soignent leurs plaies. Quels sont vos ordres ?
L'officier, à la fois sceptique et en colère, demanda sévèrement au cavalier :
- Quel compagnie russe se targue d'avoir mis à mal nos compagnons ?
- Un officier russe du nom de Vladinski, aux ordres du Lieutenant Antigny. De manière incompréhensible, ses soldats hurlaient "Hourrrah !! Le loup est mort !"
C'est alors que l'officier polonais eu souvenance des propos échangés avec son camarade Loup Blanc alors qu'ils faisaient le coup de feu ensemble à Campina. Une étrange histoire de querelle, et de duel à mort entre lui et le russe Antigny. Il hurla alors :
- Quoi ! Le russe, non content de sentir la vodka à plein nez, se met maintenant à confondre les plumes de nos ailes avec les poils de Loup ? Il va falloir corriger leur myopie !!!
Ayant donné ses ordres au hussard exténué, il se retourna vers ses hommes. Il s'occuperait de sa vengeance après l'attaque du matin. Faisant marche vers les carrés russes qui barraient la route de Brasov, un détail retint son attention. Oui... Il n'en croyait pas ses yeux... Au milieu de la ligne russe, se trouvait la compagnie du russe Antigny lui-même ! La vengeance serait finalement un plat à manger à chaud cette fois-ci. Il sonna la charge :
- En avant mes braves, agrandissons les trous des yeux russes à défaut de leur apporter des lunettes !
Les Polonais hurlants chargèrent sauvagement les russes qui avaient bousculé leur camarades, empli du désir de vengeance. Le travail fut méthodique. En une seule charge, les russes furent défaits en refluèrent dans un désordre encore accru par les râles des mourants et les plaintes des blessés. Vengeance était faite.