La Taverne d'Ivanovitchgrad
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Vilpinov entra.
Il faisait de plus en plus frais. L'hiver serait en avance certainement.
Il avait eu bien du mal à se débarrasser du juge Tchekov après la fête du régiment.
Impossible de lui faire quitter le bâtiment tant qu'il restât une bouteille quelque part.
Vilpinov jeta un coup d'œil et vit beaucoup de français. Visiblement ils se croit chez eux ...
il remarqua aussi un groupe de cinq hommes à l'écart.
Il pensa aux espions signalés récemment. Mais il s'agissait bien de russes de toute évidence. Et de solides gaillards ...
Il s'approcha de leur table.
Il faisait de plus en plus frais. L'hiver serait en avance certainement.
Il avait eu bien du mal à se débarrasser du juge Tchekov après la fête du régiment.
Impossible de lui faire quitter le bâtiment tant qu'il restât une bouteille quelque part.
Vilpinov jeta un coup d'œil et vit beaucoup de français. Visiblement ils se croit chez eux ...
il remarqua aussi un groupe de cinq hommes à l'écart.
Il pensa aux espions signalés récemment. Mais il s'agissait bien de russes de toute évidence. Et de solides gaillards ...
Il s'approcha de leur table.
- vétéran Ferrey (Mat. 16053)
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Tout en écoutant attentivement les dires de l'officier russe, Ferrey bu la moitié de la vodka apporté par le tavernier.
-Pour ce qui est de la Pologne, si elle semble selon vos dires, servir aisément de point de départ aux incursions en territoire russe, c'est que la population sur place doit avoir quelque rancune a votre égard...
Il reprit une gorgée.
-Je ne vous comprend pas sur le point de l'ouverture des ports russes aux anglais... La clause fut que la Russie devait, dans la ligné du blocus continental, fermer ses ports aux Anglais, afin de les mettre dans l'obligation de négocier une paix. Et votre Tsar a rompu sa promesse...
Il finit complètement sa vodka et ajouta avec un sourire.
-Oh, il me semble que à Tilsit la Russie se soit servi sur son "ancien" allié la Prusse en matière de territoire, mais je n'ai plus le nom des territoires en tête... Ah et vous parlez de l'Empire Français? Sachez que la pointe la plus avancée à l'est se situe à Lubeck dans le Länder d'Hambourg au nord, et Rome au sud... Tout ceci bien sur en faisant abstraction des jeux d'alliance et des membres de la famille impériale établies sur différents trônes. Et il me semble que malgré 1806 le roi de Prusse a toujours sa couronne sur la tête. Ainsi que l'empereur d'Autriche malgré 1805 et 1809.
-Pour ce qui est de la Pologne, si elle semble selon vos dires, servir aisément de point de départ aux incursions en territoire russe, c'est que la population sur place doit avoir quelque rancune a votre égard...
Il reprit une gorgée.
-Je ne vous comprend pas sur le point de l'ouverture des ports russes aux anglais... La clause fut que la Russie devait, dans la ligné du blocus continental, fermer ses ports aux Anglais, afin de les mettre dans l'obligation de négocier une paix. Et votre Tsar a rompu sa promesse...
Il finit complètement sa vodka et ajouta avec un sourire.
-Oh, il me semble que à Tilsit la Russie se soit servi sur son "ancien" allié la Prusse en matière de territoire, mais je n'ai plus le nom des territoires en tête... Ah et vous parlez de l'Empire Français? Sachez que la pointe la plus avancée à l'est se situe à Lubeck dans le Länder d'Hambourg au nord, et Rome au sud... Tout ceci bien sur en faisant abstraction des jeux d'alliance et des membres de la famille impériale établies sur différents trônes. Et il me semble que malgré 1806 le roi de Prusse a toujours sa couronne sur la tête. Ainsi que l'empereur d'Autriche malgré 1805 et 1809.

Major Ferrey,
Officier de la Garde Impériale,
Bataillon Normand.
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Vilpinov s'approcha de leur table.Alexandre Ivanovitch a écrit :Un homme encapuchonné et accompagné de quatre personnes à la silhouette imposante firent leur entrée en ces lieux. L'homme aux visages caché s'assit à une table dans un coin et fit signe aux autres de s'asseoir à leur tour. Le coin était sombre, l'on distinguait à peine la présence de ces hommes, aucun uniforme reconnaissable.
- Permettez moi de vous offrir un verre. Cela fait plaisir de voir de nouvelles têtes russes par ici. Je suis le Major Vilpinov.
- Alexandre Ivanovitch (Mat. 214)
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Les quatre molosse glissèrent leur mains à l'intérieur de leurs manteaux respectifs lorsque le Major approcha, le cinquième homme leur fit un signe rassurant. L'homme prit la parole, d'une voix calme et discrète:
- Je vous en prie asseyez vous, je vous remercie pour votre verre et accepte avec grand plaisir.
Le Major Vilpinov, vous dites, je ne vois pas...
L'homme saisit une plume et un papier, il griffonna quelques mots au dessus d'un paragraphe déjà écris au par avant, puis le fit glisser vers le major. On pouvait y lire:
heureux de vous revoir Major, je pense que vous m'avez reconnu malgré le changement qu'a pu apporter ces 6 mois à l'écart de la bataille. Je préfère rester discret pour le moment quant à mon retour. Il y a 6 mois de cela j'ai recu des menaces de mort, celles-ci venait de l'un des nôtres un Russe... Mes hommes et mois avons enquêter durant tout ce temps, avons trouvé et s'en sommes occupé, mais je penses qu'il n'était que le pion d'une tête pensante. Le risque est donc toujours présents...
puis repris la conversation comme de rien n'était
- A votre uniforme j'en conclus que vous etes donc un officier Russe, la guerre dure maintenant depuis des années, quand allons nous enfin en venir à bout ?!
- Je vous en prie asseyez vous, je vous remercie pour votre verre et accepte avec grand plaisir.
Le Major Vilpinov, vous dites, je ne vois pas...
L'homme saisit une plume et un papier, il griffonna quelques mots au dessus d'un paragraphe déjà écris au par avant, puis le fit glisser vers le major. On pouvait y lire:
heureux de vous revoir Major, je pense que vous m'avez reconnu malgré le changement qu'a pu apporter ces 6 mois à l'écart de la bataille. Je préfère rester discret pour le moment quant à mon retour. Il y a 6 mois de cela j'ai recu des menaces de mort, celles-ci venait de l'un des nôtres un Russe... Mes hommes et mois avons enquêter durant tout ce temps, avons trouvé et s'en sommes occupé, mais je penses qu'il n'était que le pion d'une tête pensante. Le risque est donc toujours présents...
puis repris la conversation comme de rien n'était
- A votre uniforme j'en conclus que vous etes donc un officier Russe, la guerre dure maintenant depuis des années, quand allons nous enfin en venir à bout ?!

"Grand Chevalier de l'Ordre de Saint-Georges"
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Vilpinov s'assit.
- Oh ravi de vous (re)voir ici ! On n'est jamais trop prudent. Ma garde a été doublée depuis l'assassinat de mon prédécesseur, Yermolov, en juillet.
J'espère que vous amenez des renforts avec vous. Le nombre de français dans cette taverne ne cesse de croitre. C'est un signe. Un mauvais signe.
Vilpinov pris son verre et le vida, l'air morose.
- Oh ravi de vous (re)voir ici ! On n'est jamais trop prudent. Ma garde a été doublée depuis l'assassinat de mon prédécesseur, Yermolov, en juillet.
J'espère que vous amenez des renforts avec vous. Le nombre de français dans cette taverne ne cesse de croitre. C'est un signe. Un mauvais signe.
Vilpinov pris son verre et le vida, l'air morose.
Cela faisait plusieurs jours que l'armée russe se préparait à l'assaut d'Ivanovitchgrad. La ville semblait fermement gardée, et le major Youri se demandait si tout irait aussi bien que prévu.
Yann, son jeune frère, était beaucoup moins inquiet : il était déjà sur place, et son expérience des combats lui soufflait que la prise d'Ivanovitchgrad serait un massacre.
Toutefois, lorsqu'il avança sur la ville, il s'aperçut que la bataille était déjà finie. Comment ? 5 000 français massacrés en une journée ? Il ne pouvait le croire... Après avoir demandé aux cosaques, les premiers à être entrés dans l'église Saint-Alexandre, il s'avéra qu'une partie de la ville, dont l'église, avait été désertée par les franzkys dans la journée, laissant ceux qui n'avaient eu le temps de fuir l'honneur de se faire massacrer par l'attaque groupée des grenadiers de Pavlovs, des cosaques et de l'Armée du Maréchal.
Qu'allaient-ils donc dire du comportement de leurs camarades, ceux qui avaient été abandonnés à la fureur russe ?
Dégoûté de n'avoir pu prendre part aux combats, non par manque de forces mais par manque d'ennemis, Yann décida d'aller faire un tour dans la taverne.
- Hola ! Tavernier ! J'ai besoin de noyer mon chagrin dans quelque chose de fort et de bien dégoûtant aujourd'hui... Dis-moi, que t'on laissé ces couards ?
Examinant la bouteille qui lui était tendue, Yann s'interrogea...
- La fée verte ? Keskseksa ?
Après en avoir bu une grande lampée, Yann compris son erreur... Décidément, ces alcools étrangers n'étaient pas faits pour lui.
- Bon, donne-moi plutôt de la vodka, histoire de faire passer ça...
Et bien, trinquons, à la victoire de la Sainte-Russie, à nos braves qui sont morts pour cette victoire, et à ces lâches qui ont préféré le déshonneur à une lutte vaine mais glorieuse !
Yann, son jeune frère, était beaucoup moins inquiet : il était déjà sur place, et son expérience des combats lui soufflait que la prise d'Ivanovitchgrad serait un massacre.
Toutefois, lorsqu'il avança sur la ville, il s'aperçut que la bataille était déjà finie. Comment ? 5 000 français massacrés en une journée ? Il ne pouvait le croire... Après avoir demandé aux cosaques, les premiers à être entrés dans l'église Saint-Alexandre, il s'avéra qu'une partie de la ville, dont l'église, avait été désertée par les franzkys dans la journée, laissant ceux qui n'avaient eu le temps de fuir l'honneur de se faire massacrer par l'attaque groupée des grenadiers de Pavlovs, des cosaques et de l'Armée du Maréchal.
Qu'allaient-ils donc dire du comportement de leurs camarades, ceux qui avaient été abandonnés à la fureur russe ?
Dégoûté de n'avoir pu prendre part aux combats, non par manque de forces mais par manque d'ennemis, Yann décida d'aller faire un tour dans la taverne.
- Hola ! Tavernier ! J'ai besoin de noyer mon chagrin dans quelque chose de fort et de bien dégoûtant aujourd'hui... Dis-moi, que t'on laissé ces couards ?
Examinant la bouteille qui lui était tendue, Yann s'interrogea...
- La fée verte ? Keskseksa ?
Après en avoir bu une grande lampée, Yann compris son erreur... Décidément, ces alcools étrangers n'étaient pas faits pour lui.
- Bon, donne-moi plutôt de la vodka, histoire de faire passer ça...
Et bien, trinquons, à la victoire de la Sainte-Russie, à nos braves qui sont morts pour cette victoire, et à ces lâches qui ont préféré le déshonneur à une lutte vaine mais glorieuse !
Colonel Youri, juge suprême de l'Armée russe, ex-commandant et ex-commandant en second de l'Armée du Maréchal
, chevalier de l'ordre de Saint-Georges

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Vilpinov entra dans la taverne. Cela faisait bien un mois qu'il n'était venu.
Il pensait souvent aux mots de St Sauveur quittant cette taverne un soir, début septembre.
A dire vrai on signalait le départ de la Garde Impériale des parages d'Ivanovitchgrad.
On retrouvait assez souvent des français tués dans l'uniforme du Xe corps d'Armée maintenant.
Vilpinov s'y attendait et avait préparé un courrier pour St Sauveur.
Il sortit l'enveloppe, déplia la lettre, but un verre de vodka et la relut.
Trouvez le plus haut gradé français dans cette taverne et remettez lui ce pli pour le commandant de la Garde Impériale.
Il pensait souvent aux mots de St Sauveur quittant cette taverne un soir, début septembre.
Il voulait remercier le Colonel St Sauveur de son si bon conseil, mais il ne le voyait pas ici.Frédéric St Sauveur a écrit :Bonsoir... Général ! Et bon courage !
Il adressa un petit sourire à Makache dont la conversation était si distrayante...
A dire vrai on signalait le départ de la Garde Impériale des parages d'Ivanovitchgrad.
On retrouvait assez souvent des français tués dans l'uniforme du Xe corps d'Armée maintenant.
Vilpinov s'y attendait et avait préparé un courrier pour St Sauveur.
Il sortit l'enveloppe, déplia la lettre, but un verre de vodka et la relut.
Il appela un officier russe.Colonel de Saint Sauveur,
Je me souviens de votre conseil donné début septembre lors de votre départ de la Taverne : "bon courage !".
Je tiens à vous en remercier.
La charge fut rude en effet.
Mais comme vous avez pu le constater nous n'avons pas manqué de courage.
Ni de persévérance.
Il semble que votre régiment ait été relevé de ce front.
Une promotion ou la prison pour m'avoir été de si bon conseil ?
Quoi qu'il en soit, maintenant que le Quartier Général russe au Nord-Est est à nouveau opérationnel, cette taverne, que vous avez eu le bon goût cette fois de ne pas brûler, restera ouverte aux soldats français. Je suis sûr qu'ils vous remercieront souvent pour cela au cours de l'hiver qui approche. Vous y serez aussi le bienvenu une fois libéré, mais sans briquet.
Tachez cependant d'éviter les cosaques, car ils ont la mémoire longue.
PS: Autant vous le dire : ce courrier est le dernier que signe le Major Vilpinov. Lorsque vous recevrez cette missive, je serai en route pour recevoir ma peine.
Eh oui ! moi aussi je suis victime de la ferme d'Ivanovtichgrad : le Tsar m'a impitoyablement sanctionné ... en me nommant Colonel ...
Salutations.
Major Vilpinov
Trouvez le plus haut gradé français dans cette taverne et remettez lui ce pli pour le commandant de la Garde Impériale.
Yann, qui cuvait sa vodka dans un coin, fut réveillé par l'arrivée de Vilpinov.
Il semblait en pleine forme, rayonnant du plaisir de retrouver le Nord-est en position de force.
- Oh, tu sais, il y a plus grand monde qui vient ici. Et surtout pas de hauts gradés franzkys !
Il y avait bien Pierre Saint-Sauveur qui a tenté d'approcher, mais il n'a pas tenu longtemps avant de retourner voir les infirmières !
Les restes de la Garde Impériale traînent encore un peu dans le coin, il y en a même un qui m'a traité de major avant de s'enfuir...
Yann parti d'un rire gras, avant de se calmer.
- J'apprends que tu vas donc être promu colonel, on pourra fêter ça ensemble, dans quelques jours, avec les grenadiers de mon frère qui arrivent !
L'empereur refuse malheureusement de me donner cette promotion tant que je suis seul au front, il paraît qu'il faut attendre le "chef" pour les médailles...
Il semblait en pleine forme, rayonnant du plaisir de retrouver le Nord-est en position de force.
- Oh, tu sais, il y a plus grand monde qui vient ici. Et surtout pas de hauts gradés franzkys !
Il y avait bien Pierre Saint-Sauveur qui a tenté d'approcher, mais il n'a pas tenu longtemps avant de retourner voir les infirmières !
Les restes de la Garde Impériale traînent encore un peu dans le coin, il y en a même un qui m'a traité de major avant de s'enfuir...
Yann parti d'un rire gras, avant de se calmer.
- J'apprends que tu vas donc être promu colonel, on pourra fêter ça ensemble, dans quelques jours, avec les grenadiers de mon frère qui arrivent !
L'empereur refuse malheureusement de me donner cette promotion tant que je suis seul au front, il paraît qu'il faut attendre le "chef" pour les médailles...
Colonel Youri, juge suprême de l'Armée russe, ex-commandant et ex-commandant en second de l'Armée du Maréchal
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- Frédéric St Sauveur (Mat. 710)
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- Inscription : sam. janv. 27, 2007 9:36 am
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St Sauveur trouva la lettre au sol, dans la poussière et les divers déchets illustrant la précipitation du départ des russes. Il sourit...
Où etes vous donc, Colonel ?
Que je vous félicite...
Il tâta dans sa poche son briquet à amadou...
Où etes vous donc, Colonel ?
Que je vous félicite...
Il tâta dans sa poche son briquet à amadou...
Colonel-Général de la Garde Impériale
Ex-Commandant des Eclaireurs de la Garde Impériale

Pleurnicher, geindre, gémir, couiner, se plaindre, chialer, bêler, chouiner, capituler, déserter, se suicider, trahir ou abandonner, JAMAIS !!!
Ex-Commandant des Eclaireurs de la Garde Impériale

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- Inscription : mar. mars 04, 2008 11:36 pm
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Sept longs mois que Vilpinov n'avait pas mi les pieds ici....
Des uniformes Preos cotoyaient ceux du Génie, des Jeagers.
Des miliciens étaient là aussi.
Peu de français.
La Brigade infernale avait quitté son quartier Général depuis plus d'une semaine déjà et ses rangs se clairsemaient un peu plus chaque jour.
Bientôt ce secteur serait définitivement libre, comme Vidnoye, libérée ce soir.
Vilpinov avait aussi une raison de se réjouir.
Il commanda la meilleur vodka disponible. Une bouteille.
Des uniformes Preos cotoyaient ceux du Génie, des Jeagers.
Des miliciens étaient là aussi.
Peu de français.
La Brigade infernale avait quitté son quartier Général depuis plus d'une semaine déjà et ses rangs se clairsemaient un peu plus chaque jour.
Bientôt ce secteur serait définitivement libre, comme Vidnoye, libérée ce soir.
Vilpinov avait aussi une raison de se réjouir.
Il commanda la meilleur vodka disponible. Une bouteille.
- Nicolaïkov (Mat. 14144)
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- Inscription : ven. nov. 23, 2007 2:25 pm
- Localisation : Au Nord Est du Nabot!
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Nicolaïkov poussa distraitement la porte d'une taverne au hasard pour soigner son vague à l'âme quotidien qui déchirait ses tripes chaque jour vivant.
Il apercut un visage familier.
"Salut Vilpinov ! Je peus m'assoeyoir ? J'ai pas la parlante mais j'adore boire en écoutant."
Il apercut un visage familier.
"Salut Vilpinov ! Je peus m'assoeyoir ? J'ai pas la parlante mais j'adore boire en écoutant."




Officier Gazetier Indépendant de la Campagne de Russie