Rencontre[RP] Russes/Francais

[vétéran Davoust]

Laissez mon capitaine et venez vous asseoir avec nous.

Fit Davoust en tendant un verrre à Droussart;

La civilisation n'est pas encore parvenu chez ces barbares ne nous laissons pas gagné par cet esprit !

[Davout]

empreur le regarda avec un petit sourire

vous avez raison, je suis toujours partant pour un bon verre, que me proposez vous?

il s'en alla en marchant avec davoust et rigolant

[vétéran Davoust]

Souriant, car il voyait dans les yeux de son supérieur, le regard du fin connaisseur,

Monsieur, je vous propose, un verre de Cognac.

Et il sortit une bouteille en forme de pavé contenant un liquide roux et étincellant.

Un 1807 ! Je l'ai prise à notre retour d'Austerlitz, d'Iéna-Auerstaedt et de Friedland !

[vétéran Viesse De 1]

De Marmont revint ...

Mon Capitaine heureux de vous voir .

Fit un salut réglementaire et alla s'assoir avec ces camarades français ...

la journée a été dure, je prendrait bien un verre de votre fameux vin mon cher Davoust .

[vétéran Boris Kotowski]

Si nous sommes des barbares que venez vous faire chez nous a part vous geler les fesses ??? et parler aux ombres.

[vétéran Viesse De 1]

Vous tsar nous a trahis, nous venons lui régler son compte ...
Et vous libérer de son joug pour la même occasion.
Vous finirez par nous remercier, vous verrez ...

[vétéran Davoust]

De plus un peu de civilisation ça ne fait de mal à personne.

Plaisanta Davoust en versant l'alcool brûlé dans le verre de Droussart.

[Davout]

le sang de empereur qui depuis quelque jour se mourrai se reveilla de suite

a mon cher de marmont qu'elle bonheur de vous voir mon breton libre vient d'arriver sur le front, il a transmis mes ordres a la pietaille(ces hommes, que j'ai sous mon commandement ne ressemble a rien)

ha voilà la boisson qu'il me fallait pour me requinqué et me remettre sur pied il est vrai qu'avec toutes ces cavalcade je n'ai pas eu le temps de me reposer.

puis le capitaine empereur reparti prendre un bain dans une auberge du coin et pu se rasé se changer et mettre un peu de parfum, il en profita pour remettre sa natte de cavalier qui datait de l'ancien regime en place(il l'avait mise dans son sac lors d'une charge avec ses hommes),depoussieré sa legion d'honneur et mettre ses insigne de capitaine bien en evidence, puis avec un cheval lui aussi laver , par son ecuillié il reparti vert la taverne, c'etait ecouler au moins deux heure


messieurs je me represente devant vous bien plus convenable
ses yeux bleu firent le tour de lq salle et s'aretta un long moment devant les russes, puis il reparti vers la table des officer francais.

[vétéran Viesse De 1]

De Marmont commença à avoir honte en voyant le capitaine empereur .
Ses Habits étaient remplis de trous, et jamais depuis qu'il était arriver sur le font il ne s'était laver ou raser .

Vous avez fière allure monsieur .
je ferait bien de prendre exemple sur vous .

Il quitta la pièce, alla dans une auberge, se lava rapidement, et revint .

Excusez-moi pour mes habits, je n'en ai point d'autres sur place .
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[Davout]

EMPEREUR SOURIT

vous verrez quand vous serrez capitaine .

[vétéran Nicolaï Karamazov]

Les trois frères Karamazov s'étaient rejoint sur le front aujourd'hui, et cela méritait bien une petite tournée avant de retrouver les champs de bataille. C'est ainsi qu'ils débarquèrent dans cette taverne...
Nicolaï ne put s'empêcher de lâcher un juron en apercevant des uniformes français.
- Par le Tsar, des officiers français ici !
- Ce doit être des déserteurs fit Alexeï, son frère
- A en juger par l'air tout propret de celui-ci, ça m'étonnerait. Je dirais même que ça doit être un de leur chef. Ils doivent croire encore à leur victoire et préfèrent passer leur temps dans leur bain. Ils ne se sont peut être même pas aperçu qu'on embroche leurs soldats à tour de bras.
- Bah, qu'importe ! fit Igor, on va pas se gâcher la soirée pour ça !
Après tout, c'était bien vrai. Une taverne, c'était un terrain neutre...
Les trois hommes prirent donc une table et commandèrent à boire.
Hola tavernier ! Apporte nous donc ta spéciale !

[Davout]

empereur s'agacait

vous verrez sur le terrain.

[vétéran Viesse De 1]

De Marmont lança aux frères russes

'est vrai ?
Vous nous embrochez ?
Je ne l'avait pas remarquer, le front sur celui où je suis vous n'osez pas nous attaquer .
Pauvres lâches ...

[vétéran Davoust]

On me dit capitaine que vous avais acquis une certaine renomée à l'Etat Major Supérieur.

Voyez-vous bien que presque vétéran de cette affreuse guerre, malgrès de glorieux combat menés, je stagne à mon état de petit Sous-Lieutenant ...

Davoust bu une gorgée du délicat alcool aromatisé aux doux parfum de Champagne.

Je suis de Nantes et j'ai connu la Gueere de Vendée en tant que cadet. Croyez-moi, ces Russes sont des braves. Fous peut-être mais braves tout de même. Ils sont comparables à ces Chouans qi dans un fanatisme absurde mourrait par centaine ne serais-ce que pour nous faire le moindre mal ...

L'Humanisme, les Lumières leurs étaient pareillement inconnu, et ils n'ont pas de pitié sauf les plus bons. Je pense à Bonchamps bien sûr. Quellle panache avaient les aristocrates, commes des rapaces renversés de leurs nids par des fourmis. Mais quelles fourmis. On raconte qu'une fourmi peut porter cinq-cent fois sont poids. Poids infîme, mais avec toutes ces fourmis, et quelles belles fourmmis, les Rois ont été renversés.

Maintenant la perversion humaine est partout dans les esprits et les peuples. Sommes-tous fous ? Alors le monde serait un gigantesque asile ...

Puis arrêtant de divaguer, Davoust fit en tendant la bouteille,

Un autre verre ?

[vétéran Viesse De 1]

De Marmont sourit, il se dit: encore un breton !
Puis un messager arriva, et donna une missive à De Marmont.

Excusez-moi messieurs, la guerre m'attend, je doit rejoindre mon front .

Puis il dit gentillement à l'oreille d'empereur :
Vous ne m'avez pas donner ce post pour que je boive ...
Il salua aimablement le ss-lt Davoust, puis fit un salut réglementaire au capitaine empereur .Puis partit avec son messager .
Les russes n'avaient toujours pas osez attaquer, mais il préféra rejoindre ses hommes, au cas où ...




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