Journée au bar ..

[vétéran Viesse De 1]

HRP / Comme le dit si bien une certaine personne, pas de smile dans les rp \HRP

Oui effectivement, un bleu que vous n'êtes ...
Et cette voldka...hum... je n'en prendrait pas .
je préfère la voldka polonaise que nous importe Ponia, elle est...comment dire... Excellente .
Alors que votre...chose...c'est du pipi de chèvre...et encore je croit que ça serait meilleure ...

Pour info, je suis toujours prêt à découdre avec l'ennemi, je suis au nord de la venitienne a la mine juste au dessus de la ville ...
Première ligne comme toujours ...

[vétéran reese]

dommage que je sois tous au sud sinon vous m'aurrer croisé sur votre chemin.

HRP/dsl pour le smile\HRP

[vétéran Asya]

Voyant les provocations entre les Russes et Français, Aelwyne decida à partir.
Elle se leva et dit aux officiers presents.

Messieurs,

Il commence à ce faire tard et je dois faire un long trajet pour rejoindre mes hommes.

Elle se rattacha les cheveux et remit son chapeau.

J'ai passée une agréable soirée en votre compagnie.

Elle verifia que ses armes étaient bien à leurs places

Et je me permets de vous souhaite une bonne fin de soirée.

Elle jeta un coup d'oeil par la fenetre, dehors il faisait une nuit d'encre. Elle avait prevu de partir avant la tombée de la nuit. Elle se promit que la prochaine fois, elle se rendrait en ville avec quelques hommes...

[Coignet]

Voyant la jeune femme se préparer a sortir, Coignet se tourna vers les deux cuirassiers qui lui servaient d'escorte et leur fit signe. Les deux hommes se levèrent précipitamment et vinrent à la rencontre de leur officier.

Coignet savait que la jeune femme était un officier français compétent et courageux, mais il lui répugnait de la considérer comme un homme. Et la Russie , non content d'être un pays en guerre, était loin d'être un pays civilisé.

- " Prenez vos montures et raccompagnés cet officier à son bivouac. Vous retournerez ensuite directement au notre."

Supris, l'un des cuirassiers répondit :

- " Et vous mon commandant? "

Amusé, coignet se fendit d'un sourire et sans s'en apercevoir, commença à tirer sur sa moustache.

- " Je pense que l'escorte du chef de bataillon Poniatowsky devrait suffir pour nous deux." Puis reprenant son sérieux " Allez, faites vite, le Capitaine Adjudant-major ne va pas vous attendre.

[vétéran Yvan Makarenko]

Yvan entra l'air maussage dans la taverne, avisa une table à l'écart et s'empara d'une bouteille de vodka et d'un verre qui trainait sans même regarder l'étiquette. Il s'installa et se servit un premier verre qu'il avala d'un coup avant d'étendre ses jambes et de considérer le lieu d'un air morne.

[vétéran Asya]

Aelwyne était deja sortie quand elle sentit qu'elle etait suivie. Brusquement elle se retourna avec un pistolet à la main. Quand elle reconnut l'uniforme Français des deux hommes, elle se detendit un peu mais elle garda son arme fixé sur le soldat le plus proche.
Elle dit d'un ton autoritaire.

Pourquoi me suivez vous soldats ?

Mon Capitaine adjudant major, nous avons reçu ordre du Chef de bataillon Coignet de vous raccompagner à votre campement.

Aelwyne baissa son arme. Les deux cuirassiers se détendirent. Bien qu'ils n'avaient pas osés sortir leurs armes pour mettre en joue la jeune officier, leurs mains avaient été assez proche de leurs gaines.
La jeune femme fit alors demi tour et rentra dans l'auberge. Elle rejoigna la table des officiers Français.
Le chef de Bataillon Coignet fut un peu surpris de la voir revenir et jeta un coup d'oeil sur ses hommes pour essayer de comprendre la raison de ce revirement. Les soldats firent un signe que la jeune femme ne puisse voir.

Chef Coignet,

Vos hommes viennent de me dire que vous leurs avez donnés l'ordre de me raccompagner, je suis vraiment touchée par votre attention mais je ne puis vous permettre de vous separez de votre escorte. Votre vie est plus importante que la mienne pour la France. Je ne voudrais pas qu'il vous arrive quelque chose parce que vous ne disposez plus de votre escorte par ma faute

[vétéran Yvan Makarenko]

Yvan dans son coin esquissa un sourire en entendant la teneur de la conversation des franzki"

[vétéran Nicolaï Karamazov]

Nicolaï Karamazov entra à son tour dans la taverne. Il avait la mine maussade. Son unité de cavalerie s'était faite décimer sur le front aujourd'hui, et la perte de ces valeureux soldats l'affectait.
Voyant Yvan Makarenko à une table, il se dirigea vers lui, et désignant la chaise vide :

Puis-je me joindre à vous Lieutenant ?

[vétéran Yvan Makarenko]

Bien sûr prenez place, je vais vous chercher un verre, voulez vous manger quelque chose j'allais commander ?

[vétéran Nicolaï Karamazov]

Certainement. J'en ai assez de la cantine du mess. C'est pour cela que je suis venu dans cette taverne. La nourriture y est plutot meilleure qu'ailleurs.
Par contre pour la boisson, avec tous les trafics qu'il y a en ce moment, je ne me fie qu'à mes propres sources d'approvisionnement.
Karamazov sortit une bouteille de son manteau.

[Davout]

davout cria
BRUNO, HENRI, PIERRE a moi.
les trois hommes, arriverent
-oui mon commandant?
-si madame aelwyne veut une escorte vous lui en fournirai une.


les trois francais attendait au garde a vous a coté de la table des aide de camp de davout

[vétéran Yvan Makarenko]

Yvan se leva et passa commande pour deux repas bien consistants.
Il ramena un verre qu'il présenta à Nicolaï Pour la vodka vous avez raison mais ce soir je n'avais guerre la tête à faire la fine bouche et vous bonne journée ?

[vétéran Nicolaï Karamazov]

Hola les franzkis, baissez un peu le ton !! s'exclama Karamazov en remplissant les verres que lui présentait Yvan.
Il se retourna pour voir qui avait crié.
Mais n'est ce pas ce cher Davout qui rode dans les plaines de la ville centrale ? Tenez, je vais lever mon verre à votre future offensive ha ha ha ! Nous avons besoin de cibles pour entraîner nos nouvelles recrues !
Puis à Yvan :
Une journée mitigée... Mes vétérans ont le moral gonflé à bloc, mais mes jeunes cavaliers sont tombés dans une embuscade ce matin.
Et vous ? Vous me semblez maussade, Lieutenant...

[Coignet]

Coignet sourit à la réponse du Capitaine Adjudant-major.

- "Ne vous inquietez pas pour moi, Capitaine Adjudant-major, je suis sûr que le chef de bataillon Poniatowsky ne me laissera pas sans escorte."

Entendant le Capitaine Davout appeller ses hommes, Coignet repris.

- " Vous allez finir par avoir une escorte conséquente Capitaine Adjudant-major. Dépéchez vous de filer avant de devoir trainer la moitié de la clientèle de cet établissement. "

Coignet fit un signe à ses deux cuirassiers pour qu'ils s'approchent.

- " Votre escorte vous attend Capitaine Adjudant-major. Passez une bonne nuit. "

[vétéran Yvan Makarenko]

Ss Lieutenant Nicolaï pas encore Lieutenant ! Pour votre cavalerie c'est dommage s'était de fier gaillards ! Santé à leur mémoire...
Pour moi, les choses vont plutôt bien sur le front mais c'est l'organisation de mon régiment qui m'inquiète, vous aurez vu que j'ai démissionné de mes fonctions de second. J'avoue que ce ne fut pas de gaité de coeur mais j'espère simplement que cela facilitera la mise sur pied rapide d'une structure capable de coordonner une bonne cinquantaine de cies. Notre régiment a fort grandi en peu de temps et les structures ont dur à suivre en tout cas c'est mon point de vue.

Allez bon appétit cela refroidi : du vin ?