taverne officier Dimitrovich

[Poniatowski]

Le Prince Poniatowski entra tel une tempête dans la taverne, ne prenant pas la peine ni d'ôter son manteau couvert de boue, ni de se découvrir de son bicorne comme l'usage le veut.
- Je dois voir le Maréchal de toute urgence ! lâcha-t-il à un officier d'ordonnance qui s'approchait de lui. Apercevant le commandant en chef attablé, il se hâta dans se direction, avant la réponse de l'ordonnance.
- Mon Général, j'ai...
Remarquant la présence du Feld-Commandant russe, il s'arrêta net. Prenant conscience de la nature diplomatique de l'entrevue, il se découvrit, en saluant l'officier du Tzar. Reprenant :
- Mon Général, Brailla est tombée entre nos mains ! L'église a été prise selon les ordres de notre empereur, et grâce aux sacrifices de nombre de camarades de l'armée du Nord. Les corps de mes Polonais jonchent encore le parvis. Mais le drapeau tricolore a flotté au sommet du clocher, et les habitants nous ont acclamé ! Notre mission est une réussite ! J'ai donné l'ordre aux unités sous mon commandement encore en vie de se replier avant les représailles russes.

HRP : http://nsa38.casimages.com/img/2016/02/ ... 515073.png

[philius]

le maréchal ce leva , et pris la nouvelle avec grande joie , offra son pineau au prince

-" prenez une chaise derrière moi vous serez bien accompagné , restaurer vous un peu et rejoigner vos hommes avec des provisions ."

philius repris place

-" excuser moi feld-maréchal reprenons "

[Dimitrovich]

Dimitrovich, nullement offusqué des devoirs accomplis par tout officier quel qu'il soit, ferma les yeux en humant encore une fois son pichet, et en écoutant cette déclaration faite aux oreilles de la tablée, même si à l'attention spécifique du Maréchal d'Empire. Entendant son homologue s'adresser à nouveau à lui, il posa son breuvage.

Oui, les échanges culturels inter-nation sont propices à la transmission du savoir et aux échanges commerciaux, mais la guerre reste et demeure une perte pour chacun. Vous pensez qu'ils vous accueillent, il ne font que préserver leurs vies comme toute personne pourrait le faire à l'égard de l'occupant. Ils ne partagent pas vos moeurs, ni vos religions, et penser le contraire serait se fourvoyer.

Nous annexerons la Moldavie quoi que vous fassiez, et Braïlia restera et demeurera russe une fois que vous quitterez les terres roumaines. Et même si l'exploit récent mérite les louanges, il ne suffira pas qu'un hussard ailé fasse un vol plané avec son drapeau par les claire-voies d'un clocher d'église que pour que celle-ci deviennent française ou soit valorisée comme telle. Ces hommes sont repassés de l'autre côté du mur les pieds devant. Une autre compagnie s'est prise une mini-terreur au coin d'une ruelle. C'est d'autant plus beau que ce me semble inutile. Allez-vous régulièrement à l'église accompagné les moines dans leurs chants ? Il faut passer du temps dans une ville, et connaître tous les quartiers. Passer du temps à côtoyer les habitants et à se rendre aux messes pour écouter l'expression de nos synodes.

Mais soit... vous semblez croire en le fait de pouvoir remporter cette guerre... mais l’hiver est rude et les souffrances humaines se reflètent par les corps gelés qui jonchent les chemin des armées. Nous ne vous laisserons pas vous installer à Braïlia, cette ville est nôtre. Je vous sais affectionner la ville de Bucarest et vous rassure, les troupes russes ne s'y rendront pas d'ici demain. Nous savons très bien cette perspective illusoire en les temps actuels. Ne pensez-vous donc pas vous-même ces objectifs inaccessibles ? Peut-être sera-t-il nécessaire de faire des concessions que pour rendre l'accessibilité à toute chose ?

[Dimitrovich]

Un officier entra dans la taverne munie d'une dépêche...

[Dimitrovich]

fin de la mi-temps
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Début Carpates II

Le Chef d'Etat-Major russe entra furibond dans la taverne et s'installa en mandant 2, non que dis-je ! 3 choppes de bière (pas fraîche).

Inadmissible ! C'est une honte ! Ils n'ont aucun honneur ?

Il avala la première.

Je vous demande la mise en corvée de tambouille et réparation pour une telle infamie !

Il englouti la deuxième.



Sans sommation et sans discussion, quelques tours du fortin ou bien l'obligation d'un petit aller-retour aux tentes par ordres du commandeur !Tout officier un tant soi peut honnête ne serait pas rentré dans ces ruines ! HONTEUX ! Un peu d'honneur diantre !

Et il regarda la troisième se demandant s'il la boirait, ou ... il ne savait pas trop.

Il n'aurait pas du boire avant de venir à la taverne.

[Antigny]

On entendit un bruit de galop, puis le hennissement d'un cheval. Puis le son d'un homme descendent de ça monture et pestant contre les 10cm de boue qu'il y avait a l'entré de la taverne. Puis l'homme entra couvert de boue de la tête aux pieds, mais que devant comme si on avait mis du beurre sur une tartine de pain. Sur son visage, seul la partie qui était protégé par son écharpe, qui a l'origine était bleu avant de devenir grise taché de rouge, n'avais pas de boue. L’ensemble donnais un aspect assez comique au jeune Capitaine. Ce dernier en essuient ces bottes su le pas de la porte déclara haut et fort:

"Il parai qu'on sert ici la meilleur bière de la région ! Tavernier ! 2 pintes fraîches, du Bortch, une bassine d'eau et une serviette !!"

Puis il alla s’asseoir dans un coin de la taverne tout en bougonnent dans ça barbe de boue et ce sans même remarquer la présence de son supérieur directe et du chef des armées.

[Evenflow]

Evenflow entre dans la taverne qui a l'air déserte.

Major Dimitrovich, où stockons-nous les 497 tonnelets de vodka du VODKA CHALLENGE ?

Et à qui adressons-nous les remerciements pour les Franzkis qui ont rendu possible un tel gavage ?

[Dimitrovich]

Major Dimitrovich, où stockons-nous les 497 tonnelets de vodka du VODKA CHALLENGE ?

Et à qui adressons-nous les remerciements pour les Franzkis qui ont rendu possible un tel gavage ?

Chuuuuuttt, pas si fort.

Nous les avons d'abord fait convoyé dans les caves de Viscri.



Le bâtiment bien qu'ancien, reste d'une excellente solidité. Je pensais que nous pourrions les transférer par la suite à Biertan, dans cette église fortifiée au cas où le Tsar repasserait à proximité.



Par contre ne ne sais trop à qui transmettre nos remerciements, le commandement de l'armée du nabot reste fort discret en ces lieux.

[Dimitrovich]

La chute régulière des effectifs FR est-elle principalement due à la période actuelle de vacances, comme c'est le cas pour tous les joueurs ?

[Dimitrovich]

Un jeune coursier s'étala devant le Chef d'Etat-Major.

" Major en chef, les troupes FR arrivent!"

Lejeune officier se tourna vers l'enseigne et lui dit d'un ton un peu guindé.

" Que voulez-vous que j'en fasse de cette nouvelle, je n'ai pas besoin de me lunette que pour le voir, ils sont à 1 PA de notre camp, arborant fièrement leurs drapeaux. Mais quand bien-même, ils ne m'auront pas vivant! Ils devront nous tuer pour prendre cette mine, je ne me laisserai pas emprisonner !"

[Dimitrovich]

Dimitrovich ne s'était pas fait emprisonner, après un petit tour de ballade dans le potager, il s'était aperçu que la mine avait été occupée en son absence. Qu'à cela ne tienne, il avait fait évacuer l’intrus quelques heures plus tard, que pour s'y installer encore plus confortablement.

Du temps avait passé depuis ces instants, et il n'avait pas eu l'occasion de s’asseoir pour prendre un bon verre. Il s'installa tranquillement.

[Dimitrovich]

Dimitrovich salua les officiers présents et s'attela a écrire quelques ordres.

[Dimitrovich]

En cette soirée mémorable, je me permet d'offrir à tous un verre!

FR, RU, c'est ma tournée! Tous qui êtes sur cette campagne de Russie.

Que l'alcool coule à flot! Et que les tisanes du matin fassent le reste!

[philius]

rentrant avec fracas , la capuche bien visé sur son visage , chopa un verre et alla se positionner au fond de la salle

a votre bonne santé a tous

[Krispov]

En poussant la porte de la taverne où il n'avait pas vraiment ses aises, Krispov balaya des yeux les tables occupées et les places disponibles. Ayant puis s'avanca vers le bar prendre un verre offert par le tout nouveau Colonel Dimitrovch.


Toutes mes fécilitations pour ce nouveau grade. C'est un plaisir que de ferrailer à vos cotés, Colonel.
Santé !!

Et vida d'un trait le verre qu'il venait de prendre en faisant la grimace