[Volchanka] Mission phase 3 France

[Briscard]

Non, ce n'est pas possible.

Extrait des règles :

De plus, pour pouvoir incorporer un soutien dans un régiment, la présence d'au moins un fusilier/grenadier est requise.
Exception à cette dernière règle :

• - Le Génie
  - Les régiments école
  - Les membres du HEM/HEMI

[De Villeneuve]

Début fouille 9/19

[Napoléon]

Une compagnie de sapeurs harassés pénétra dans Dolina, petite ville oubliée de la vaste steppe russe. Les rues désertes résonnaient du pas lourd des soldats, les uniformes jadis éclatants n'étaient plus que loques salies par la boue et le sang.
L'espoir, mince et vacillant, les poussait à explorer chaque recoin de ce lieu silencieux. Un sergent au visage marqué par la fatigue et le froid donna l'ordre d'inspecter un pâté de maisons aux volets clos. Rien à première vue n'indiquait que ce quartier ait déjà été fouillé. Les hommes, baïonnette au canon, entrèrent prudemment dans la première bâtisse. L'obscurité et l'odeur de moisi les étreignaient tandis qu'ils fouillaient minutieusement chaque pièce.
Les planchers grinçaient sous leurs bottes, témoins muets de leur quête incertaine. Qu'espéraient-ils trouver ? Des vivres, des armes, un peu de chaleur humaine ? Iouri avait été plutôt sibyllin. Le silence pesant de Dolina semblait se moquer de leurs attentes.

HRP : cette case n'a pas encore été fouillée. Vous commencez la fouille. Rendez vous dans 24h pour connaître le résultat.

[De Villeneuve]

Fin fouille 9/19 ? (il n'était pas précisé si un visuel était requis après le délai)

[Napoléon]

La lumière déclinante du crépuscule peignait Dolina de teintes orangées, projetant des ombres allongées sur les rues désertes. Les soldats, épuisés mais déterminés, continuaient leur inspection minutieuse du pâté de maisons. La première bâtisse fouillée n’avait rien offert d'utile en dehors de quelques découvertes insignifiantes. Pourtant, l’ordre était clair : ils devaient poursuivre.

À la lueur des lanternes, les hommes s’introduisirent dans une nouvelle maison, plus grande et plus imposante. Les volets fermés, les portes grinçantes, rien n’indiquait qu'elle ait été visitée. L’odeur de poussière et de bois vieilli remplissait l’air. Les soldats s'éparpillèrent, soulevant tapis et planches, scrutant chaque recoin. Le silence de la nuit, seulement brisé par les bruits de leurs mouvements précautionneux, accentuait la tension palpable.

Minuit approchait et la fatigue se faisait plus oppressante. Le sergent, inébranlable, les exhortait à persévérer. Ils fouillèrent dans les greniers, les caves, chaque pièce offrait une déception de plus. Leurs efforts semblaient vains : ils trouvaient des ustensiles rouillés, des vêtements abandonnés, mais rien de particulièrement intéressant.

Au matin, les visages étaient marqués par l’épuisement et la frustration. Le soleil naissant baignait Dolina d’une lumière douce, contrastant avec l’âpreté de la veille. Les hommes étaient à bout, leurs forces diminuant à chaque minute.

Après vingt-quatre heures de fouille infructueuse, toutes les maisons avaient été ouvertes et inspectées. Décision fut prise de chercher ailleurs. Le prochain pâté de maisons serait peut-être plus clément. Les soldats rassemblérent leurs forces et se dirigèrent vers de nouvelles habitations, déterminés qu'ils étaient à ne pas quitter Dolina sans avoir trouvé. Leurs pas frappaient le pavé, échos d’une quête qui se poursuivait, toujours aussi incertaine mais nécessaire.

HRP : Non, la visu n'est pas requise (mais il ne faut surtout pas hésiter à nous rappeler à l'ordre !)
Case 9x19 fouillée
Vous pouvez fouiller ailleurs.

[De Villeneuve]

Nouvelle tentative en 9/20

[Napoléon]

Déterminés malgré la fatigue, les soldats avancèrent vers un nouveau quartier de Dolina. La ville s'étendait en un dédale de maisons aux façades écaillées, chacune dissimulant potentiellement le fruit de leur recherche. En pénétrant dans cette nouvelle section, ils furent comme frappés par l’apparente quiétude des lieux. Les maisons semblaient attendre indifférentes leur tour pour être fouillées par ces visiteurs obstinés.
Un officier fit signe aux sapeurs de se disperser méthodiquement. La rigueur de leur mission s’imposait à eux et chaque geste était mesuré. Ils savaient que cela prendrait sans doute encore plusieurs jours pour tout inspecter mais l’importance de leur quête les maintenait debout.
Devant la première maison, ils remarquèrent des signes de vie passée : une balançoire abandonnée, des volets entrouverts. Un sergent donna le signal. La porte céda sous la pression, révélant un intérieur déserté. Échangeant des regards déterminés, ils pénétrèrent prudemment à l'intérieur, la lumière de leurs lanternes dansant sur les murs poussiéreux. L’atmosphère ici était différente, comme figée dans une époque révolue. Ils se dispersèrent, inspectant chaque placard, chaque tiroir avec soin. Leurs pas étouffés par des tapis épais, ils continuaient leur mission, animés par l’espoir ténu de trouver enfin ce qu’ils cherchaient.

HRP : nouvelle tentative validée

[Briscard]

Nouvel échec

Vous pouvez commencer une nouvelle fouille.

Cases déjà fouillées :
- 9x19
- 9x20

[De Villeneuve]

Merci. Pas de nouvelle fouille à déclarer.

[Junot]

Fouille débutée en 23/15

[Briscard]

Début de fouille validé.

[Lupus]

Et fouilles débutées en 22/18

[Napoléon]

Les sapeurs, vêtus de leurs uniformes usés mais dignes, pénétrèrent avec précaution dans la maison abandonnée. La campagne de Russie en 1812 était impitoyable, chaque bâtiment portant les cicatrices des combats passés. Les bruits sourds des canons résonnaient encore dans l’air, rappelant aux sapeurs la proximité des lignes ennemies.
Ils se frayèrent un chemin à travers le couloir sombre et étroit pour atteindre le bureau. Le bois craquait sous leurs pas lourds, chaque écho amplifiant l’intensité du moment. Leurs regards se croisèrent brièvement, une lueur de détermination brûlant dans leurs yeux. Ils étaient animés par une volonté farouche de bien faire.
La pièce était illuminée par les rayons du soleil qui filtraient à travers la fenêtre, révélant une cheminée majestueuse ornée d’un énorme disque de bronze. Les paroles de Iouri prirent alors tout leur sens : « En son cœur de pierre, sous la suie des âges et son disque d’airain… ». Ils en étaient persuadés, ils avaient enfin trouvé ce qu’ils cherchaient. La cheminée semblait être le cœur même de la pièce, un sanctuaire silencieux gardant jalousement ses secrets. Les sapeurs s’approchèrent, leurs mains rugueuses parcourant la surface froide et dure de la cheminée avec une tendresse paradoxale. Chaque brique était minutieusement examinée, chaque fissure scrutée. Rien n’était trop insignifiant pour être ignoré.
Leur motivation était palpable. Ils savaient que quelque chose d’important se cachait là ; un mystère qui demandait à être révélé. Après des moments qui semblaient être une éternité suspendue entre deux souffles, ils prirent ensemble la décision d’enlever toutes les briques du contrecœur. Chaque pierre retirée était un pas de plus vers la découverte - ou vers l’inconnu profond.

[Junot]

Après plusieurs heures de fouille, la datcha 23/15 etait fouillée de fonds en combles.

[Junot]

Par acquis de conscience, les sapeurs de Junot entamerent aussitot une autre fouille