Au village de Kavlov...

[vétéran Ferrey]

Ferrey se tourna ver Roman

-Au fait mon ami, d'après votre texte pour la gazette vous etes un chef de bataillon pas mal, c'est aussi mon cas et celui d'Arghentur.

[vétéran Roman Récit]

Ca doit être celà...

En attendant, je tire mon chapeau à vos camarades qui ont réussits à faire fuire la compagnie que je menait personellement...

Disant celà, il ôtat son chapeau.

[vétéran THlive]

Merci. C'est vrai que les francais réussisssent souvent leurs coups! !!!!!!!!!!!!!!!!!!

[vétéran Ferrey]

Comme quoi, les francais en on sous la semelle.

[vétéran THlive]

Et oui, faut pas le négliger!

PS:Russe= (lol!)

[vétéran Roman Récit]

Je vois du bleu à l'horizon, beaucoup de bleu...
Et je vois aussi du vert derrière moi, beaucoup de vert... Heureusement que je vient de recevoir de nouvelles baïonnettes...

[vétéran Ferrey]

-Laissé moi deviner charge ?

[vétéran Roman Récit]

Non, replis... J'ai dans ma deuxième compagnie (celle qui n'a pas fuit) environ 130 hommes valides et 20 bléssés, mais le moral de la troupe est faible...

[vétéran Ferrey]

-Reculer pour refaire le plein d'homme au lieu de se riquer en première ligne, c'est un acte de sagesse mais aussi révélateur de ce qui y a en face de vous .

[vétéran Tchekov]

Tchekov entra dans la taverne. Il retira son manteau et son bonnet et les posa près de la cheminée pour qu'ils sèchent.

En s'approchant du tavernier, il lui demanda.

Bonjour mon brave. Pouvez vous me montrer une table calme. J'attends des amis et je ne veux pas être importuné par les Franskis.

Le tavernier lui désigna une table vide près de l'escalier.

Merci. Pouvez vous m'apporter un flacon de la vodka que j'ai fait venir et plusieurs verres.

Il alla tranquillement s'assoir et observa les officiers présents.

Deux jeunes Russes avec des uniformes du nouveau régiment était atablés. Près deux plusieurs Français, mais aucune têtes connues.

Tchekov pensa que cette guerre était réellement terriible. Aucun des officiers présent ne semblait avoir plus de 25 ans. Et de tous ses anciens amis, tant étaient morts ou estropiés.

Le tavernier apporta la bouteille avec les verres et déposa en même temps une assiette de cochonaille avec du pain.

Merci tavernier lui dit Tchekov en le payant d'une pièce d'or. Vous au moins, pas besoin de long discours ! Vous comprenez d'un regard.

Et après s'être servi à boire, il commença à manger tranquillement.

[Didier Lacoste]

de castillon entra à son tour dans la taverne et dit au tavernier:

le noble officier Tchekov doit m'attendre, est-il en ce lieu?

le tavernier lui pointa du doigt la table de l'officier juge tchekov.

de castillon fit un signe de tête et rejoignit son ami tchekov à la table.

bonjour mon "ami" (ses sentiments ne sont peut-être pas partagés), quelles sont les nouvelles de la cour?

[vétéran Tchekov]

Tchekov voyant arriver de Castillon arréta de manger et leva pour l'accueillir.

Asseyez vous donc. Votre venue me fait très plaisir. Scellons notre réconcialition autour d'un verre et notre prochaine collaboration avec cette nourriture.

Il se rassit et servit deux verres de vodka. Pendant ce temps, De Castillon enlevat son manteau et prit une chaise.

Tavernier, un assiette pour mon ami. Et encore un peu de cette délicieuse cochonaille. Autant qu'elle ne profite pas à ces cochons de Français.

Vous voulez des nouvelles de la cour ! Vous allez être déçu. Je n'ai malheureusement que peu d'informations. Depuis ma récente querelle avec ce manipulateur de Rumph, beaucoup me tournent le dos.

[Didier Lacoste]

de castillon était surpris, il voyait un juge (respecté et écouté) et ne comprenait pas le lien avec un membre de l'EM.

la Justice est indépendante, comment cela se peut-il?

vous et l'officier, juge nathalie êtes une reference. c'est pourquoi la grande armée de russie l'est pour les valeurs que je veux défendre.
je dois avouer mon trouble, je suis confondu.

de castillon tenait son verre et le dressa bien haut pour l'honneur des officiers nathalie et tchekov.

il ne maitrisait pas tout (dans un contexte nouveau et plein de mouvements), mais restait à défendre ses valeurs fondamentales.

ma volonté est de défendre la justice militaire russe. je ne suis pas au fait des actes politiques. c'est sans nul doute un handicap, mais en même temps, c'est une marque de neutralité.

c'est à mon sens, ce que l'on attend d'un juge.

pour ce qui est de la justice militaire, vous êtes avec l'officier nathalie, mes guides? et ce, pour rendre justice. si c'est pour une autre option, je suis un pavloski et donc, j'ai ma liberté de penser et mon devoir de suivre les ordres de mon général.

de castillon buvant son verre de vodka, fit un geste de la tête pour marquer son respect à l'officier Tchekov.

[vétéran Tchekov]

N'ayez crainte. Notre justice est indépendante. Nos prédécesseurs ont tout fait pour cela et nul n'osera s'y opposer.

Mais la cour est un monde bien compliqué. Les hommes les plus admirables y cotoient les coquins. Et bien malin qui s'y retrouve.

Heureusement, notre glorieux emprereur lui sait reconnaitre les siens !

Mais cessons cette triste conversation. Comment se passent vos premiers combats ?

[Didier Lacoste]

des victoires et 1 défaite, bientôt 2, car il me semble être la cible de celui que j'ai renvoyé à la tente. pas de drapeau et la fiérté de me battre aux côté d'hommes valeureux.
nous sommes beaucoup de novices dans le camp pavlov, mais nous sommes soudés. nous aimons notre général et si nous lui conseillons de ponderer ses propos, ses idées nouvelles sont à prendre en compte.
il est un vrai chef. il est notre chef.
donc, tout va bien, même si ce soir ou demain je me retrouve à la tente.