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Publié : mer. nov. 26, 2008 7:08 am
par vétéran Percy
En effet c'est bien "la paix d'Amiens", mais la scène représentée se passe le samedi 27 mars 1802, au moment où l’accord conclu le 25 est signé devant le public, admis dans la salle du congrès.

A toi la main

Publié : mer. nov. 26, 2008 5:05 pm
par vétéran Tomaso
Pas de mérite, c'est Aurélien qui m'a bien aiguillé avec Amiens... :respect:

Bon alors;

18 juin 1815,vous voyez de quoi je parle? :fou:

Aprés la bataille, les soldats français prisonniers sont emmenés en Angleterre puis seront renvoyés en France par la suite.

Parmi eux, un jeune soldat s'illustrera par sa longévité: il fut le dernier survivant de Waterloo et mourrut de vieillesse.

Comment s'appellait-il? Quelle age avait-il à sa mort? Dans quel régiment était-il le 18 juin?

(j'avais une photo mais je ne la retrouve plus... :? )

Publié : mer. nov. 26, 2008 5:30 pm
par vétéran toutchkov
Louis-Victor Baillot, le dernier survivant de Waterloo mort à105 ans


Le 18 juin, la pluie ayant cessé de tomber, peu à peu, la ligne des combattants est éclairée par le soleil. A 11 heures et demie, de son observatoire de Rossomme, l’empereur ordonne l’ouverture du feu. Le 105e, placé en seconde ligne, avance avec succès, malgré le feu meurtrier de l’ennemi et enlève à la baïonnette une position tenue par les anglais. Mais, quelques instants après, les écossais couchés dans les blés se levèrent et tirèrent à bout portant sur les français, lesquels surpris par cette attaque imprévisible durent reculer. Se ressaisissant, les hommes du 105e, s’avancent à nouveau, lorsque soudain, surgissent les redoutables dragons gris écossais lancés par Wellington . La charge, d’une rare violence, fauche des rangs entiers. Louis Victor reçoit un violent coup de sabre sur la tête, mais grâce à sa gamelle déposée sous sa coiffure, il échappe miraculeusement à la mort. Blessé d’une large plaie, assommé et couvert de sang, il est laissé pour mort sur le champ de bataille. Ramassé par les anglais, le lendemain, il sera emmené en captivité sur les pontons de Plymouth.

Publié : mer. nov. 26, 2008 6:47 pm
par vétéran Tomaso
pouarff c'était facile hein... 8)

A ton tour

Publié : mer. nov. 26, 2008 7:11 pm
par Didier Lacoste
:respect: , super souvenir.

félicitations à toi toutchkov. :wink:

Publié : ven. nov. 28, 2008 12:58 pm
par vétéran toutchkov
non je laisse ma place à didier car je n'ai rien a vous proposer

Publié : ven. nov. 28, 2008 7:36 pm
par Didier Lacoste
merci à toi toutchkov, :wink:

je pense que cela sera très vite trouvé, mais dans l'urgence! :oops:

que représente cette scène + date de l'évenement (année).

Image

Publié : ven. nov. 28, 2008 7:37 pm
par vétéran Ferrey
Capitulation de Madrid le 4 décembre 1808.

Publié : ven. nov. 28, 2008 7:40 pm
par vétéran Arghentur
Mais c'est pas vrai il a posté avant moi ? o[ o[

:rale:

Publié : ven. nov. 28, 2008 7:55 pm
par vétéran Ferrey
Quand j'ai vu ton nom sur ceux de connecté et que il n'y avait pas de réponse...............J'ai vite taper le message de peur que cela se joue à la seconde^^. Je me suis casser la figure dans les escalier pour trouver la date dans le livre.....pas malin.

Publié : ven. nov. 28, 2008 8:04 pm
par Didier Lacoste
à toi la main, Ferrey.

je vais prendre mon temps pour trouver un truc "difficile" car là, je savais que cela serait trouvé très vite. :wink:

Publié : ven. nov. 28, 2008 8:53 pm
par vétéran Ferrey
D'accord.

Image

Ou se passe cette scène et à quelle régiment appartienne les hommes en kilts.

Publié : ven. nov. 28, 2008 8:54 pm
par vétéran Antoine de Froiss
Bataille de la Corogne en 1809... 42ème Highlanders ?

Publié : ven. nov. 28, 2008 8:57 pm
par vétéran Ferrey
La date n'est pas complète, mais sur la bonne voie.
42ème Highlanders
Du premier coup et en si peu de temps, mes respects!

Publié : ven. nov. 28, 2008 9:02 pm
par vétéran Antoine de Froiss
Le 16 janvier 1809 lorsque les français passent à l'offensive ils ont une grosse contre-attaque des Highlander ce qui entraîne une belle boucherie à la baïonette. Chose inutile car les anglais reculent forçant les écossais à suivre.

Au final, les anglais souffrent de l'hiver et du manque de soutien logistique ce qui permet aux français de contrôler l'Espagne.