La Taverne de la grande Nonain qui fèrre l'oie
Publié : lun. avr. 18, 2016 6:55 pm
Noblecourt, son ordonnance le grand, l'immense Bauer arrivaient du front et avaient obtenus, après deux campagnes de rang, une permission justifiée. Ils étaient en tenue de campagne et leurs chevaux étaient attachés à la voiture légère qui les avaient amenés directement du front à Bucarest.
Ils s"arrêtèrent à peine une heure à la grande battisse bourgeoise réquisitionnée pour l'état-major de la gendarmerie impériale pas très loin des ruines de Curtea Veche qui fut construit dit on par Vlad Tepech, l'empaleur de Turcs. Le temps de descendre les bagage de donner les ordres pour les jours à venir et brossés, rafraichit ils se rendirent à leur auberge préférée, celle de La Grande Nonain qui ferre l"oie. Cette auberge avait été refaite à l'identique de celle existant à Paris par un descendant des propriétaires parisiens venu s'installer ici au XVIII ème siècle.
Noblecourt avait demandé ce congés pour mettre de l'ordre dans les dossiers de justice, consulter celui qui lui avait été signalé sur le nouveau Maréchal et surtout rencontrer quelqu'un d'important s'il en est.
Quand ils entrèrent ils ne passèrent pas inaperçu. Noblecourt déjà grand était dépassé de presque deux têtes par Bauer, un ancien dragon colonel général qui avait été aux Amériques puis les campagnes de la révolutions du Consulat et de l'Empire. Leurs bonnets à poils à visières les grandissaient encore et leurs bottes sur lesquelles claquaient des sabres de bataille impressionnaient plus encore. Si le commun se tut, la maitresse des lieux elle ne resta pas sans Voix.
- M. de Noblecourt, Bauer qu'elle surprise je vous croyais perdu dans les plaines glacées de la lointaine Russie.
Noblecourt et Bauer l'accolèrent et la soulevèrent du sol ce qui provoqua les rires de la tenancière.
- Madeleine ma belle tu as toujours ta petite salle que tu ne donnes qu'aux amis car nous attendons quelqu’un ?
- Bien sur mon beau tout de suite et elle les entraina vers le fonds de l'auberge au milieu des odeurs savoureuses
Ils s"arrêtèrent à peine une heure à la grande battisse bourgeoise réquisitionnée pour l'état-major de la gendarmerie impériale pas très loin des ruines de Curtea Veche qui fut construit dit on par Vlad Tepech, l'empaleur de Turcs. Le temps de descendre les bagage de donner les ordres pour les jours à venir et brossés, rafraichit ils se rendirent à leur auberge préférée, celle de La Grande Nonain qui ferre l"oie. Cette auberge avait été refaite à l'identique de celle existant à Paris par un descendant des propriétaires parisiens venu s'installer ici au XVIII ème siècle.
Noblecourt avait demandé ce congés pour mettre de l'ordre dans les dossiers de justice, consulter celui qui lui avait été signalé sur le nouveau Maréchal et surtout rencontrer quelqu'un d'important s'il en est.
Quand ils entrèrent ils ne passèrent pas inaperçu. Noblecourt déjà grand était dépassé de presque deux têtes par Bauer, un ancien dragon colonel général qui avait été aux Amériques puis les campagnes de la révolutions du Consulat et de l'Empire. Leurs bonnets à poils à visières les grandissaient encore et leurs bottes sur lesquelles claquaient des sabres de bataille impressionnaient plus encore. Si le commun se tut, la maitresse des lieux elle ne resta pas sans Voix.
- M. de Noblecourt, Bauer qu'elle surprise je vous croyais perdu dans les plaines glacées de la lointaine Russie.
Noblecourt et Bauer l'accolèrent et la soulevèrent du sol ce qui provoqua les rires de la tenancière.
- Madeleine ma belle tu as toujours ta petite salle que tu ne donnes qu'aux amis car nous attendons quelqu’un ?
- Bien sur mon beau tout de suite et elle les entraina vers le fonds de l'auberge au milieu des odeurs savoureuses