14 fevrier 1812:
Ce matin il fait toujours aussi froid, la neige n'a toujours pas arrété de tomber, ca doit faire deja une bonne semaine que cette situation dure. Au moins mes guetres et mon uniforme tiennent le coup et je pense a des endroits chaud pour ne pas sombrer. Je me rememore par exemple mes dernieres vacances au bord de la mer noire, c'etait avant que ces chiens de francais osent fouler la terre de notre valeureux Tsar !
Napoleon qu'ils l'apellent! mais qu'est ce qu'il nous veut encore celui la!
Conquerir la Russie! il faut etre fou!
Enfin maintenant qu'on m'a collé dans cette merde loin de chez moi je vais servir du mieux que je peut le grand Alexandre.
Un peu avant le "repas" du midi, qui est en fait un melange d'eau de quelques feuilles de choux, j'ai entendu un soldat d'une compagnie qui stationne a coté de moi dire qu'un nouveau sous-lieutenant etait arrivé avec tout son bataillon. Quelle bonne nouvelle de savoir que nous ne nous battons pas seul. J'ai donc envoyé une de mes infanteries prendre contact avec lui. Mais quand il est revenu! Grande a été ma surprise!
Ce nouvel arrivant etait en fait Rock, un ami de longue date qui habitait non loin de chez moi dans un petit village sur la Volga. J'ai donc decidé de faire mouvement avec mes troupes dans sa direction. Le temps de traverser les quelques tranchées que les camarades ont eu le temps de creuser pour se proteger des balles ennemies et avant la tombée de la nuit je l'ai retrouvé!
Ce grand gaillard! l'air fier! Quel plaisir de le revoir. Je l'ai invité autour d'un petit verre de vodka et nous avons discuté un bon moment. Nous avons donc avec un commun accord decidé de combattre ensemble temps que nous tiendrons debout, l'union fait la force comme on dit. Pour feter son arrivée et notre rassemblement nous avons pris la decision de mettre a sac une menacante compagnie de cuirassiers qui nous fesait face.
Nous avons donné ordres a nos adjudants respectifs de preparer leurs hommes. Les troupes de Rock ont tiré une premiere salve sur les cavaliers ennemis, beaucoup sont tombés mais la compagnie ennemie a tenu le choc. J'ai donc fait signe a mon adjudant de faire feu. Cette fois les tirs ont fait mouche! Le commandant ennemi est tombé de son cheval la tete en sang. Les autres cavaliers a cette vue ont fuit en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Il s'en ai suivi un cri de joie dans les rangs de nos deux bataillons.
Premiere victime de cette toute nouvelle cooperation!! Esperons que la liste soit longue! Nos hommes sont tellement motivés que nous avons meme prevu un nouvel assault des demain !
La ligne blanche [Chronique Rock/Semenoff/Wanted]
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La ligne blanche [Chronique Rock/Semenoff/Wanted]
Dernière modification par vétéran Wanted Man le mer. mars 07, 2007 2:22 pm, modifié 1 fois.
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15 fevrier 1812:
6h45
Et voila un nouveau jour qui se leve. La nuit avait ete glaciale et mes hommes etait gelés et ce, malgres la petite "fete" qu'ils avaient fait la veille avec les hommes du sous-lieutenant wanted man pour feter la retrouvaille de leur chef et leur premiere victoire, n'avait rechauffé l'atmosphere que pendant peu de temps.
Enfin, le soleil se levait deja et une nouvelle journée avec son lot de combat et de mort commencait.
Wanted et moi n'avions pas fait la "fete" la veille. Nous avions passé notre soirée a concevoir les plans que nous utiliserions pendant cette journée du 15 fevrier. Une soirée de reflexion n'avait pas ete de trop vu l'objectif que nous nous etions fixé.
En effet Wanted et moi avions decidé d'attaqué l'officier numero 1 de l'armée de napoleon: Renzo
Wanted devait placer ses hommes sur le flanc droit pendant que les miens s'aligneront sur le gauche. Une fois cela fait nos hommes tireront simultanement contre les troupes de notre cible.
Enfin nous verront bien si la pratique ressemblera a la theorie.
10h35
Nos ennemis ont du remarqué nos manoeuvres. Ils ont passé le debut de la matiné a se relayer pour attaquer mes hommes... une cinquantaine sont morts... presque tous de brave gars qui ne reveraient pas leurs familles...et une autre cinquantaine autant etaient bléssés...
12h10
Voila, le feu ennemi a cessé.
Le moral de mes hommes n'est pas au plus haut et la tension commencait aussi a monter parmis leur rang.
Voila Wanted vient de donner l'ordre a ses hommes d'aller attaquer Renzo. Aussitot je lance a mon tour mes ordres et mes hommes commance leur avancé.
12h20
1 salves, 2, puis 3... et c'est pas moins de 7 salves tirées presque simultanément que les hommes de Renzo recoivent avant d'enfin prendre la fuite.
Wanted et moi avions reussi a faire tomber le numero 1 francais!!
12h30
Les cris de joie et les "houras" lancé par nos hommes couvrent presque l'ordre de replis que je lance. Mais apres 2 minutes de confusion voila que mes hommes suivent enfin ceux de wanted qui encore une fois ont pris un peu d'avance dans le replis.
Maintenant il va falloir s'occuper de nos bléssés et enterrer nos morts car meme si nous avons gagner une petite bataille aujourd'hui, nous sommes loins d'avoir gagner la guerre.
6h45
Et voila un nouveau jour qui se leve. La nuit avait ete glaciale et mes hommes etait gelés et ce, malgres la petite "fete" qu'ils avaient fait la veille avec les hommes du sous-lieutenant wanted man pour feter la retrouvaille de leur chef et leur premiere victoire, n'avait rechauffé l'atmosphere que pendant peu de temps.
Enfin, le soleil se levait deja et une nouvelle journée avec son lot de combat et de mort commencait.
Wanted et moi n'avions pas fait la "fete" la veille. Nous avions passé notre soirée a concevoir les plans que nous utiliserions pendant cette journée du 15 fevrier. Une soirée de reflexion n'avait pas ete de trop vu l'objectif que nous nous etions fixé.
En effet Wanted et moi avions decidé d'attaqué l'officier numero 1 de l'armée de napoleon: Renzo
Wanted devait placer ses hommes sur le flanc droit pendant que les miens s'aligneront sur le gauche. Une fois cela fait nos hommes tireront simultanement contre les troupes de notre cible.
Enfin nous verront bien si la pratique ressemblera a la theorie.
10h35
Nos ennemis ont du remarqué nos manoeuvres. Ils ont passé le debut de la matiné a se relayer pour attaquer mes hommes... une cinquantaine sont morts... presque tous de brave gars qui ne reveraient pas leurs familles...et une autre cinquantaine autant etaient bléssés...
12h10
Voila, le feu ennemi a cessé.
Le moral de mes hommes n'est pas au plus haut et la tension commencait aussi a monter parmis leur rang.
Voila Wanted vient de donner l'ordre a ses hommes d'aller attaquer Renzo. Aussitot je lance a mon tour mes ordres et mes hommes commance leur avancé.
12h20
1 salves, 2, puis 3... et c'est pas moins de 7 salves tirées presque simultanément que les hommes de Renzo recoivent avant d'enfin prendre la fuite.
Wanted et moi avions reussi a faire tomber le numero 1 francais!!
12h30
Les cris de joie et les "houras" lancé par nos hommes couvrent presque l'ordre de replis que je lance. Mais apres 2 minutes de confusion voila que mes hommes suivent enfin ceux de wanted qui encore une fois ont pris un peu d'avance dans le replis.
Maintenant il va falloir s'occuper de nos bléssés et enterrer nos morts car meme si nous avons gagner une petite bataille aujourd'hui, nous sommes loins d'avoir gagner la guerre.
Sous-lieutenant Grigori Rocksov
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19 fevrier 1812
Quelle nuit horrible! Une garnison francaise c'est planqué le long de la riviere dans la nuit et ce matin, quand l'aube c'est levée, elle a fait feu...
J'ai perdu une vingtaine d'hommes! beaucoup etaient deja blessés ou affaiblis par le froid, mais quand meme 20 hommes! Du coup le reste de ma compagnie en a pris un coup au moral.
En plus de cela j'ai perdu le contact avec Rock, il n'est pas mort mais la neige a recouvert sur plusieurs dixaines de centimetres le petit sentier par lequel nous communiquions. Mes hommes et les siens sont trop fatigués pour tenter de creuser un chemin la dedans. Heureusement la neige a céssé de tomber, j'espere qu'on pourra se rassembler dans les prochains jours.
J'ai donc pris la decision en concertation avec mon adjudant, qui est juste devant moi, d'attaquer quand meme. Surtout qu'un de ses eclaireur a repéré la position de l'ennemi, celui là meme qui a fait un carnage dans mes rangs hier soir. Nous avons donc preparé nos hommes pour une petite sortie dans le milieu de la journée, juste le temps pour que la petite brume matinale se dissipe et ne trouble pas la precision des tirs de mes hommes.
Dans les environs de 14h00 j'ai donc fait signe a mon adjudant pour qu'il fasse sortir ses hommes de la tranchée, mais a peine avait il fait 10 metres qu'une rafale c'est fait entendre dans la plaine. Ses hommes se sont donc jeté a terre, a plat ventre dans la neige fraiche de la veille.
Heuresement les tirs provenaient d'une autre compagnie russe etablie sur la droite, elle avait serieusement amoché le bataillon de Plintekontrix que je visait aussi. Mon adjudant fit donc relevé ses hommes puis il donna l'ordre de faire feu par deux fois. Une quinzaine d'hommes seulement tomberent mais le commandant francais eu toutes les peines du monde a garder ses hommes en bon ordre. Ce fut donc au tour de ma compagnie de faire feu, deux tirs aussi. Cette fois la panique fut totale dans les rangs ennemis et la compagnie se dispersa en quelques secondes. J'ajoutai donc une quatrieme barre sur le manche du drapeau de mon bataillon.
En plus de cela, lors de mon repli il me sembla apercevoir la silhouette familiere de Rock agenouillée derriere un petit buisson en train de fixer les lignes ennemies.
Je tenterai de lui envoyer un eclaireur des demain en esperant que la neige ne recommence pas a tomber.
Quelle nuit horrible! Une garnison francaise c'est planqué le long de la riviere dans la nuit et ce matin, quand l'aube c'est levée, elle a fait feu...
J'ai perdu une vingtaine d'hommes! beaucoup etaient deja blessés ou affaiblis par le froid, mais quand meme 20 hommes! Du coup le reste de ma compagnie en a pris un coup au moral.
En plus de cela j'ai perdu le contact avec Rock, il n'est pas mort mais la neige a recouvert sur plusieurs dixaines de centimetres le petit sentier par lequel nous communiquions. Mes hommes et les siens sont trop fatigués pour tenter de creuser un chemin la dedans. Heureusement la neige a céssé de tomber, j'espere qu'on pourra se rassembler dans les prochains jours.
J'ai donc pris la decision en concertation avec mon adjudant, qui est juste devant moi, d'attaquer quand meme. Surtout qu'un de ses eclaireur a repéré la position de l'ennemi, celui là meme qui a fait un carnage dans mes rangs hier soir. Nous avons donc preparé nos hommes pour une petite sortie dans le milieu de la journée, juste le temps pour que la petite brume matinale se dissipe et ne trouble pas la precision des tirs de mes hommes.
Dans les environs de 14h00 j'ai donc fait signe a mon adjudant pour qu'il fasse sortir ses hommes de la tranchée, mais a peine avait il fait 10 metres qu'une rafale c'est fait entendre dans la plaine. Ses hommes se sont donc jeté a terre, a plat ventre dans la neige fraiche de la veille.
Heuresement les tirs provenaient d'une autre compagnie russe etablie sur la droite, elle avait serieusement amoché le bataillon de Plintekontrix que je visait aussi. Mon adjudant fit donc relevé ses hommes puis il donna l'ordre de faire feu par deux fois. Une quinzaine d'hommes seulement tomberent mais le commandant francais eu toutes les peines du monde a garder ses hommes en bon ordre. Ce fut donc au tour de ma compagnie de faire feu, deux tirs aussi. Cette fois la panique fut totale dans les rangs ennemis et la compagnie se dispersa en quelques secondes. J'ajoutai donc une quatrieme barre sur le manche du drapeau de mon bataillon.
En plus de cela, lors de mon repli il me sembla apercevoir la silhouette familiere de Rock agenouillée derriere un petit buisson en train de fixer les lignes ennemies.
Je tenterai de lui envoyer un eclaireur des demain en esperant que la neige ne recommence pas a tomber.
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Le 23 fevrier 1812
Il etait deja dans les environs de midi quand le front a commencé a s'animer aujourd'hui, on comprend que les soldats aient du mal a s'eveiller avec ce froid. Enfin au moins la ville n'est plus tres loin et les francais n'arretent pas de reculer. On va pouvoir refaire les stocks de munitions et de vivres et surtout soigner les blessés.
Tient au fait aujourd'hui j'ai encore reussi a dessouder une compagnie ennemie, un dennomé Janus cette fois. Il etait simplement stationné sur la riviere gelée qui traverse la ville et n'a pas vu arriver les coups. D'ailleurs je pense que nous avons trouvé un nouveau commandant avec qui se coordonner, Semenoff. Il a participé a l'attaque de Janus avec moi aujourd'hui et ce p'tit gars m'a bien plu, il a dirigé ses hommes avec une belle poigne et ils ont fait un carton chez les soldats ennemis. Je vais donc le presenter a Rock dans les prochains jours. Oui, les prochains jours car malheuresement je n'ai toujours aucune nouvelle de lui, est il mort ou bien toujours vivant? j'en ai meme aucune idée. Ca m'inquiete quand meme...
Je vais envoyer quelques hommes aux nouvelles aupres des compagnies voisines voir si ils sont plus au courant que moi, sait on jamais je tomberai peut etre meme sur Rock
Il etait deja dans les environs de midi quand le front a commencé a s'animer aujourd'hui, on comprend que les soldats aient du mal a s'eveiller avec ce froid. Enfin au moins la ville n'est plus tres loin et les francais n'arretent pas de reculer. On va pouvoir refaire les stocks de munitions et de vivres et surtout soigner les blessés.
Tient au fait aujourd'hui j'ai encore reussi a dessouder une compagnie ennemie, un dennomé Janus cette fois. Il etait simplement stationné sur la riviere gelée qui traverse la ville et n'a pas vu arriver les coups. D'ailleurs je pense que nous avons trouvé un nouveau commandant avec qui se coordonner, Semenoff. Il a participé a l'attaque de Janus avec moi aujourd'hui et ce p'tit gars m'a bien plu, il a dirigé ses hommes avec une belle poigne et ils ont fait un carton chez les soldats ennemis. Je vais donc le presenter a Rock dans les prochains jours. Oui, les prochains jours car malheuresement je n'ai toujours aucune nouvelle de lui, est il mort ou bien toujours vivant? j'en ai meme aucune idée. Ca m'inquiete quand meme...
Je vais envoyer quelques hommes aux nouvelles aupres des compagnies voisines voir si ils sont plus au courant que moi, sait on jamais je tomberai peut etre meme sur Rock
- vétéran Rock (Mat. 587)
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26 Fevrier 1812
Voila quelques jours que je n'ai pas de nouvelle de Wanted et de ses hommes... j'ai bien envoyé des eclaireurs pour essayer de reprendre le contact, mais ils sont revenus bredouille... pour ceux qui sont revenu car deux manquent a l'appel... deserteurs ou bien morts au combat, ça je ne le saurais jamais...
Enfin, les combats continus et les bruits de rafales raisonnent dans la plaine hivernal assez regulierement.
Nous aussi nous allons devoir retourner en 1ere ligne.
Des eclaireurs ont signalé des français (Jacques Giney (mat 642) )traversant la riviere seul a l'Ouest de la ville. Pas vraiment malin de se balader sans soutient dans cette zone.
Enfin je ne suis pas la pour avoir ce genre de reflexion, et donc j'ai ordonné a mes hommes de s'aligner avec ceux de mon adjudant.
Avant de d'ordonner le tir, un homme de Wanted arriva (enfin) afin de renouer le contact entre nos bataillons. Je lui ordonna de se depecher afin d'aller chercher son chef afin de m'aider dans mon attaque.
Voila, les ordres sont donnés.
8 fois, mes hommes vont faire mouche, mais ce français doit etre un homme assez charismatique car aucun de ses Hommes ne prirent la fuite.
A peine nous avons fini de faire feu, que Wanted et ses hommes arrivent et font feu a leurs tours.
Ce coup ci les hommes de Jacques Giney (mat 642) prennent la fuite. De toute façon il n'y avait pas d'autre issue possible.
Et voila une autre victoire pour le Tsar!
Et d'apres ce que m'a dis Wanted ce n'est pas la seul, car dans son envie de liberer la ville des mains des français son adjudant avait quelques heures auparanvant forcé le "no man's land" separant nos lignes des 1er batiments et a coup de baillonette avait fait fuir l'officier Jules Henry Valland (mat 624) moins courageux que Jacques Giney, ajoutant ainsi une septieme barre sur son drapeau de bataillon.
Voila quelques jours que je n'ai pas de nouvelle de Wanted et de ses hommes... j'ai bien envoyé des eclaireurs pour essayer de reprendre le contact, mais ils sont revenus bredouille... pour ceux qui sont revenu car deux manquent a l'appel... deserteurs ou bien morts au combat, ça je ne le saurais jamais...
Enfin, les combats continus et les bruits de rafales raisonnent dans la plaine hivernal assez regulierement.
Nous aussi nous allons devoir retourner en 1ere ligne.
Des eclaireurs ont signalé des français (Jacques Giney (mat 642) )traversant la riviere seul a l'Ouest de la ville. Pas vraiment malin de se balader sans soutient dans cette zone.
Enfin je ne suis pas la pour avoir ce genre de reflexion, et donc j'ai ordonné a mes hommes de s'aligner avec ceux de mon adjudant.
Avant de d'ordonner le tir, un homme de Wanted arriva (enfin) afin de renouer le contact entre nos bataillons. Je lui ordonna de se depecher afin d'aller chercher son chef afin de m'aider dans mon attaque.
Voila, les ordres sont donnés.
8 fois, mes hommes vont faire mouche, mais ce français doit etre un homme assez charismatique car aucun de ses Hommes ne prirent la fuite.
A peine nous avons fini de faire feu, que Wanted et ses hommes arrivent et font feu a leurs tours.
Ce coup ci les hommes de Jacques Giney (mat 642) prennent la fuite. De toute façon il n'y avait pas d'autre issue possible.
Et voila une autre victoire pour le Tsar!
Et d'apres ce que m'a dis Wanted ce n'est pas la seul, car dans son envie de liberer la ville des mains des français son adjudant avait quelques heures auparanvant forcé le "no man's land" separant nos lignes des 1er batiments et a coup de baillonette avait fait fuir l'officier Jules Henry Valland (mat 624) moins courageux que Jacques Giney, ajoutant ainsi une septieme barre sur son drapeau de bataillon.
Sous-lieutenant Grigori Rocksov