Un retour temporaire

[Davout]

Davout regarda au loin, et il vit des éclats blancs qui perçait le lourd manteau noir de la nuit, au loin derrière, des collines, qui lui parvenait par intermittence, des bruits sourd et fort semblable à l'orage battait l'air comme les femmes des faubourgs battent leur linge, il reconnut instantanément le bruit du canon.

-Messieurs bienvenu au front ! Surtout suivez-moi de près, vous allez voir de vos yeux le feu et sentir la poudre, avec un peu de chance vous sentirez le sang couler le long de votre main en enfonçant votre sabre dans le ventre d'un Russe, là où nous sommes passés vous n'avez vu que mort et désolation, attendez-vous à voir tout ce que vous avez par terre debout, vivant, se chargeant et se tuant joyeusement.

Puis il se retourna :

-Au COMBAT !

Il arriva tranquillement sur les lieux de la bataille, suivie de ses secrétaires qui avaient servies sous ses ordres à Paris.

Davout avait demandé l'autorisation de regagner le front russe pour cet été, ce qui lui a été accordé avec beaucoup de difficultés tellement ses services étaient demandés à Paris, car un bon soldat est un soldat qui sait mené des hommes et qui est capable de remplir des monceaux de papier, tellement qu'il ne savait plus combien de jours il avait passé à envoyer des billets pour ravitailler le corps d'armée ou servait son ancien régiment, il se dit intérieurement « AHHH, j'espère que mes pti's gars de la BI ont reçu mes colis spéciaux ».

Il aperçut le campement français, « j'espère que j'en reconnaîtrai certains, la guerre fait tellement de ravage... » se dit-il en trottant tranquillement.
Davout mis pied a terre, confia ses chevaux à ses secrétaires qui allèrent se réfugier dans l'étable en bois noircit.

Pour sa part il se dirigea vers la tente de l'état majors, il appréhendait ce moment depuis qu'il avait passé Varsovie et qu'il avait vue les hôpitaux remplis de blesser et de mourant. En passant la porte les deux grognards se mirent au garde à vous en claquant les talons.

Il entra et alla se mettre à une table où il étala des cartes d'approvisionnement pour la Russie, il prit une bougie sur un chandelier et versa de la cire sur la table, encore chaude, il en profita pour fixer la bougie sur la Table, il ne savait pas comment se retrouver dans ce si grand camp, c'est pour cela qu'il décida d'attendre l'arrivée d'officier qui puisse l'aiguiller. Avec un peu de chance il serait reconnu assez rapidement.


[HRP] La periode est tres calme, dès que les affaires reprendront je repartirai[HRP].

[vétéran Chaudard]

Une rumeur était arrivée dans le campement du IVème Corps proche de celui de la BI, le retour de Davout.
Chaudard se souvint de cet officier exemplaire qui avait mené des assaut en compagnie des hommes du VIème Corps.
La prise du marais avec les Autunnois, la B. I. , le 12ème cuirassiers et le VIème Corps.
Tout ça revenait dans la tête de Chaudard, il venait juste d'arriver sur le front et se battait au côté d'officiers de haut rang, Bouchu, Tommy, Soult, Laloose, Davout...
Chaudard esquissait un sourire en pensant à cet assaut commun qui avait surpris les troupes russes, le bon vieux temps.
Il décidait d'aller voir si la rumeur était vrai et histoire de saluait le retour de l'officier Davout au nom du IVème Corps.
Il cherchait Davout dans le campement de la B. I. mais sans succès.
Des officiers supérieurs de la BI partaient en direction du campement de l'Etat Major français pour chercher l'officier Davout, Chaudard les accompagnait.

[Davout]

Davout commença a s'impatienté, serai-t-il tous mort.

[guila]

Davout commença à s'impatienter, serai-t-il tous mort.

esquissant un sourire un jeune officier prit la parole:
"Certainement pas voyons!!! quoique déshonoré (dans un certain sens)

Mon Major, je ne vous connait que peu, par conséquent voyez m'en désolé si je ne dit pas grand chose.
Il me semble tout de même me souvenir que vous avez de haut et glorieux faits d'armes.

J'espère que votre retour motivera encore plus nos camarades de la BI, qui ont eue a souffrir beaucoup ces derniers temps."

[vétéran Arghentur]

Arghentur qui revenait de permission reconnut le Major Davout. Il s'empressa d'aller le voir.

-Bonjour Major
Cela fait longtemps que je ne vous avez pas vu. Etes vous revenus pour longtemps ? Comment c'est passé votre permission ?

HRP/ désolé pour ce laps de temps long mais je ne fait que de rentrer et je n'ai pas encore tout lu ce qu'il y a eu de posté sur le forum. /HRP

[vétéran Jermanowski]

Alors c'était vrai, Jermanowski le voyait de ses propres yeux

Davout ? Hum, enfin ?
Un sourire apparut, il n'avait jamais été aussi heureux. Malgré les questions des autres officiers, il ne pu s'empêcher de les interrompre et d'aller lui faire une accolade, mais celle-ci était longue, comme pour vérifier si c'était bien lui

Hé bien Davout, vous voila de retour !

HRP : Pas trop tôt le Davout

[Davout]

Davout reconnu enfin certaines tête et notamment celle de jermanowski, il fut heureux de lui faire une accolade aussi longue et émouvante, puis une fois cela terminé il se mit a répondre aux questions.


-Et bien messieurs les affaires politiques à Paris vont bon train, que de discussions avec des hommes véreux prêt a tout pour profiter du sacrifice de nos soldats au front.
En cette période estival il y a peu d'intrigue et moins de travail administratif qu'en hiver ou toute les mains sont bonne pour assurer votre ravitaillement, j'ai donc décidé au vu de cette baisse d'activité de vous rejoindre pendant un ou deux mois pour montrer à mes aides de camp de bureau ce que c'est la guerre, qu'ils voient de leurs propres yeux à quoi ressemble la guerre sur le terrain, c'est a dire des hommes et non pas des chiffres et des nombres.

J'ai repris le commandement de mes hommes qui en avaient bien profiter pour avoir une permission amplement mérité, je les ai récupéré au dépôt de Strasbourg le 4 juillet.


Puis il guettât impatiemment les réponses des officiers présent.

[vétéran Sainte-Croix]

L'officier de Sainte-Croix se présenta et salua comme il se doit le Major Davout...

- Dieu sait que nous n'avons pas toujours été d'accord par le passé... Mais vous portez l'uniforme français et vous vous battez, encore aujourd'hui, avec bravoure pour sauver la liberté. Recevez ainsi mon respect et mes salutations les plus distinguées.

[vétéran Percy]

L'Officier Percy, dérogeant à ses habitudes, se dirigeait vers la Taverne. L'émotion pouvait se lire sur son visage. Il poussa la porte :

Major Davout, heureux de vous revoir

Percy sabra une bouteille de Vodka ( "souvenir" de Mohilev) qu'il réservait pour une grande "occasion"...

Avant de passer aux "choses sérieuses" ( ),
Parlez-nous de Paris ! et du pays ! ... Il remplit un premier verre de vodka. Et les femmes... Ah ! les petites Parisiennes ! Morbleu !

Percy exquissa un sourire

...je me suis laissé dire que vous aviez fréquenté la petite noblesse d'origine hongroise, lors de votre séjour prolongé à Paris...

Percy tordit sa longue moustache

[vétéran Pascal Paoli]

Paoli salua le Major Davout

Bonjour major.
Content de voir un officier expérimenter sur le front.
Je pense que vous devez être satisfait de la BI, non?